dimanche 17 mai 2009

Au hit parade de la peine de mort : Numéro trois


Au hit parade de la peine de mort : Numéro trois (Il n’ y a pas lieu d’ en être fier) le merveilleux et démocratique Royaume arabe saoudien, dit Royaume d’Arabie Saoudite.




L'Arabie Saoudite, « es-saoudia » ou la saoudie, dont la constitution du pays se fonde sur le Coran et la Sunna, pratique une interprétation normale des justes lois islamiques de l’Islam salafiste, qui serait la forme de l'islam la plus authentique, mais aussi la plus archaïque. Le Royaume prescrit la peine de mort pour l’homicide, le viol, le vol à main armée, le trafic de drogue, la sorcellerie, l’adultère, la sodomie, l’homosexualité, le vol sur autoroute, le sabotage, et l’apostasie (renoncement à l'Islam). La seule chose qui me gêne vraiment dans ce programme, que je verrais assez bien être appliqué dans nos belles banlieues, (Vous vous rendez compte de la place qu’il y aurait dans nos prisons ? Non, moi, c’est l’apostasie et l’ anti judéo Christianisme et l’antisémitisme du « Royaume » qui me gêne vraiment, après, s’ils ont envie de frapper la gueule de leurs moukères torchonnées ou de sodomiser des gamines de 9 ans avec des cris d’ une grande lubricité ou de les couper en rondelles, ce sont les leurs, ils peuvent en faire ce qu’ ils veulent, même leur cailleter la tronche, ils sont chez eux, c’est le fameux droit des peuples à disposer d’ eux-mêmes !Et ce ne sont pas les joyeux camarades qui me contredirons !



L'Arabie Saoudite est néanmoins l’un des pays qui exécute le plus dans le monde, aussi bien en termes absolus qu’en pourcentage de sa population : entre 1980 et 2002, environ 1500 personnes ont été exécutées, avec un record de 191 exécutions en 1995.

Une très grande partie des condamnations à mort concerne des personnes accusées de trafic de drogue. Mais depuis septembre 2005, l’Arabie Saoudite a modifié la loi dans ce domaine, et a permis aux juges d’utiliser leur pouvoir discrétionnaire pour décider de prononcer une peine de prison au lieu de la peine capitale. Les personnes accusées de trafic et de production de drogue risquent désormais un maximum de 15 ans de prison, 50 coups de fouet, et une amende minimum de 100 000 rials saoudiens, soit plus de 26 000 dollars.

Près des deux tiers des personnes exécutées sont des étrangers. Beaucoup d’exécutions sont infligées pour des homicides et des viols, mais un bon nombre de délits non violents restent punis par la décapitation : c’est le cas notamment de l’apostasie, de la sorcellerie, et des délits touchant à l’usage de la drogue.

La « justice » musulmane du Royaume est particulièrement intransigeante avec les travailleurs étrangers ( Chez nous on dit sans papiers), et notamment avec ceux provenant des pays pauvres et musulmans du Moyen-Orient, de l'Afrique et de l'Asie, qui représentent près d’un quart de la population saoudienne. Attention toutes ces personnes doivent être musulmanes, les athées,les personnes de confession juive, ou simplement des personnes ayant eu un visa pour Israël sur leur passeport, sont interdits de séjour dans ce pays de paix, d’ amour et de tolérance !

Les travailleurs musulmans immigrés sont plus vulnérables aux abus de leurs patrons et des autorités en cas d’arrestation, ils sont aisément abusés car forcés à signer un aveu en langue arabe, que bien souvent ils ne comprennent pas. Les sans papiers sont fréquemment torturés et plus souvent maltraités, exécutés, flagellés ou amputés que les citoyens saoudiens. Dans bien des cas, ils ne savent même pas que leur procès est terminé et qu’ils sont condamnés à mort. Les délibérations du procès se déroulent à huis clos, et les étrangers n’ont pas le droit à ne assistance consulaire. Les suppliciés peuvent comprendre ce qui leur arrive seulement au tout dernier instant, lorsqu’un grand nombre de « policiers » fait irruption dans la cellule, appelle la personne par son nom et la traîne dehors.

Ainsi, en avril 2005, six Somaliens ont été exécutés alors qu’ils ne savaient pas qu’ils avaient été condamnés à mort, et pensaient purger leur peine en attendant leur libération.

Dans le royaume wahhabite, toutes les discriminations raciales sont au rendez-vous. S’y ajoutent des comportements qui aggravent cet état de fait. Par exemple, en Arabie, les non musulmans n’ont pas le droit de célébrer leur culte et le prosélytisme est un délit sévèrement puni. Les femmes, lorsqu’elles sont domestiques, il n’est même plus question de droits, mais d’esclavage pur et simple. En Arabie, la domestique appartient littéralement à son employeur qui confisque son passeport. Elles sont souvent une esclave sexuelle pour le maître de maison. Les rares domestiques qui ont l’audace de se plaindre se voient souvent emprisonner et inculper pour fornication. Et lorsque l’une d’entre elles est enceinte à la suite d’un viol, elle est de même arrêtée et punie par la « justice » musulmane salafiste saoudienne, sans que son employeur violeur soit poursuivi.

L'Arabie Saoudite a les mains rouges et le cœur asséché par les immondes actes de violences qu'elle encourage sur son territoire à l'égard de toutes les personnes qui entravent la loi musulmane. Dans cette politique délibérée de chasse à l'impie, aux mécréants et aux infidèles, les femmes, qu'elles soient saoudiennes ou immigrées, font l'objet d'une discrimination instituée et traditionnelle.

Des patrouilles de la « police » religieuse, les " mutawa'een " sillonnent les rues, questionnent les femmes accompagnées d'un homme pour s'assurer de l'identité de ce dernier, vérifient que la tenue vestimentaire stricte et antédiluvienne imposée par la loi islamique est respectée, arrêtent les femmes qu'ils jugent en infraction, les emprisonnent, les soumettent parfois à une " vérification de leur virginité ", les torturent, les font condamner par un système « judiciaire » corrompu et incompétent. Certaines se retrouvent rapidement devant un peloton d'exécution pour des crimes qu'elles n'ont pas commis. Comment défendre une femme devant un tribunal si les lois islamiques édictent, elles-mêmes, des pratiques discriminatoires et violentes à leur égard ? Tout est organisé pour que la justice soit rendue, au nom du Coran et de la Sunna, sans appel, sans recours, le plus rapidement possible et dans le secret le plus absolu.

Des organisations « humanitaires » dénoncent (sans vraiment y croire et sans exercer trop de pression) l'absence, en Arabie Saoudite, de garanties aux procès. L’assistance d'un avocat avant le procès et la représentation légale en salle est régulièrement déniée aux prévenus. Pourtant, en 2002, l'Arabie Saoudite a permis pour la première fois la visite du Rapporteur Spécial de l'ONU sur l'indépendance des juges.

Un sérieux problème entrave les efforts des occidentaux pour comprendre l'Islam, qui est dû au principe islamique de la « tromperie religieuse », (al Taqqiya). Ce principe encourage les musulmans à tromper des non musulmans pour faire avancer la cause de l'Islam. Les groupes musulmans aujourd'hui en occident utilisent la dissimulation et l'omission pour donner l'impression que l'islam est une « religion de paix d'amour et de tolérance », ce qui est une fiction totale.

La « tromperie » trouve son origine dans le coran. La sourate 3:28 dit bien qu'un croyant « ne doit pas prendre pour alliés des infidèles » ...à moins que ce soit pour « se protéger d'eux ».

Quel sens cela a-t-il ? C'est une expression étrange, qui pourrait être ambiguë. Allons voir les commentateurs et ce que les musulmans en disent eux-mêmes. Voyons Ibn Kathir, l'un des grands commentateurs du coran. Il est du XV° siècle, ses écrits sont toujours lus aujourd'hui, et publiés par des saoudiens. Et il écrit : « La tromperie est autorisée quand les musulmans sont vulnérables ou en position de faiblesse. Ils peuvent tromper les infidèles, faire semblant d'être amis avec eux ». Et il cite la tradition : « Nous leur sourions par devant, mais par derrière, nous les maudissons.. »

Dans le royaume des Saoud, les exécutions se produisent en public et par décapitation au sabre. Elles sont effectuées dans des cours aux abords des mosquées les plus fréquentées des principales villes du pays, après la prière du vendredi. Le condamné est conduit dans la cour, les mains liées et forcé à s’agenouiller devant le bourreau, lequel brandit une longue épée au milieu des éructations fanatiques de la foule qui hurle "Allah Akbar!" ("Dieu est grand" (Enfin pas tant que ça, c' est un nain un nabot, un demi Dieu de Bédouins sodomites, tous juste bon à lécher les bottes du Dieu Juif, Javeh, le vrai Dieu lui!)).

82 exécutions ont eu lieu en 2001, au moins 49 en 2002, et 52 en 2003, 38 en 2004, 82 en 2005. En 2006, le nombre d’exécutions se serait élevé à 38 selon les chiffres d’Amnesty International. En novembre 2005, on comptait 126 mineurs dans les prisons insalubres. L’Arabie Saoudite a pourtant ratifié la Convention des droits de l’Enfant de l’ONU en 1996, qui interdit la peine de mort et la prison à vie pour les personnes qui étaient mineures au moment des faits. L’Arabie Saoudite a indiqué en 2006 qu’aucune exécution de mineur n’avait été conduite depuis la ratification par le pays de la Convention des droits de l’Enfant. Rappelez vous toujours : « « Nous leur sourions par devant, mais par derrière, nous les maudissons.. » Ibn Kathir commentateur du coran.

L’Arabie Saoudite a ratifié la Convention des droits de l’Enfant et la Convention contre la torture et les traitements et punitions cruels, inhumains ou dégradants. Et ce, grâce au principe islamique de la « tromperie religieuse », (al Taqqiya).

Je sais, je sais, le MRAP, SOS Racisme, Act Up, le Gisti, RESF, le Parti communiste Français, les Socialistes, Les militants de paix pour la Palestine, expriment tous ici leur indignation, pour le sort fait aux esclaves sans papiers de Saoudie. Et Madame Royale demande pardon au nom de la France.

N. B. La mairie de Paris manifestera t’elle aussi son indignation, pour le sort fait aux sodomites et autres homosexuels au Royaume Saoudien. Rappelons ici que Paris est ville jumelle de Ryad, capitale du Royaume Saoudien ou règne les droits de l’homme, (Ne pas confondre avec les doigts de l’homme dans le Centre d’ Union Libertarien) la paix, l’amour et la Tolérance.

Cet article clos la série de : Les trois plus « grands » pays aux idéologies socialistes ou musulmanes barbares qui appliquent la peine de mort dans le monde ! Un communiste, deux musulmans ! Décidemment l’ Islam mène deux à un au score de la barbarie infecte et abominable , je me demande si finalement leur « Dieu » est si grand que ça ?

Bornay

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