vendredi 27 avril 2012

L’Alliance Nationale.

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Le Front National a choisit de se présenter sous l'appellation "Rassemblement bleu Marine" aux élections législatives de juin prochain. Marine Le Pen conduira ainsi un rassemblement incluant des ex-chevènementistes, villiéristes et gaullistes aux législatives. Le vieux Jean-Marie Le Pen s'était opposé à un changement de nom du FN. Jean-Marie Le Pen récuse par ailleurs le terme de "nouvelle droite" employé par Gilbert Collard, soulignant que le FN ne se voulait "ni de droite, ni de gauche". Jean-Marie Le Pen répond ainsi à Gilbert Collard, le président du comité de soutien de Marine Le Pen, qui lui, veut profiter du bon score de la candidate au premier tour de la présidentielle, pour incarner une "nouvelle droite" et changer de nom. "On fonde un autre parti quand on a fait faillite, pas quand on a du succès", a encore dit Jean-Marie Le Pen. Bon. Que fait-on en attendant ?


La quasi totalité des médias sociaux capitalistes mondialistes, internationalistes et antinationaux vont encore faire leurs choux gras de l’info, dans ce pays où 95 % de journalistes se déclarent fièrement de gauche et leur incompétence est directement proportionnelle avec leur puant militantisme politique.

Personnellement je lui préfère « L’Alliance Nationale ». Une alliance a une aura historique (les Alliés de la seconde guerre) et peut toujours être opposé à « l’Axe islamogauchiste ». Une alliance est transversale car elle réunit des couches sociales différentes. Une alliance ne se corrompt que par une mésalliance. Et vous vous en pensez quoi ?
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1 commentaire:

  1. L’entre-deux tours de l’élection présidentielle française de 2012 a au moins un point commun avec le premier: aucun sujet d’importance n’est évoqué, seulement celui dont tout un chacun mesurera la pertinence, à savoir conclure ou non pour l’UMP à l’avenir des alliances avec le Front national… Toute la gauche se mobilise comme à l’accoutumé pour hisser haut le vieil épouvantail du fascisme à combattre dont elle s’auto-persuade du retour depuis un demi-siècle… et les ténors de la droite parlementaire, unanime à rejeter la moindre entente avec les dirigeants frontistes, de confirmer, un peu façon méthode Coué, qu’ils ne feront jamais (ô grand jamais !) d’alliance avec ce parti tant honni de la bien-pensance citoyenne… tout en se demandant bien comment récupérer à leur avantage les électeurs de celui-ci, toujours aussi nombreux… Comme disait Jean Cocteau : « Le tact dans l’audace, c’est de savoir jusqu’où aller trop loin. »
    Le plus hilarant, parce qu’il faut bien rire de tout et puisque c’est le propre de l’homme, est d’entendre les uns comme les autres se retrancher derrière leur haute conception de la « moralité » pour refuser toute légitimité républicaine à Marine Le Pen tout autant qu’aux autres dirigeants de son mouvement…
    Une conception tout de même bien particulière pour une classe politique qui, pour une partie d’entre elle, s’apprêtait voilà un an à présenter sans la moindre vergogne Dominique Strauss-Kahn à la Fonction Suprême, ce qui aurait, on le sait maintenant, transformé le Palais de l’Élysée en Palais des mille et une nuits très chaudes… et pour l’autre partie d’entre elle, de compter parmi ses dirigeants et notamment le prétendant à sa propre succession présidentielle, des gens compromis dans des scandales financiers à répétition, pour les uns celui de la fortune Bettencourt, pour d’autres l’argent sale des ventes d’armes et son aboutissement sanglant dans l’attentat de Karachi qui coûta la vie à onze de nos compatriotes, le 8 mai 2002… On en passe pour les uns comme pour les autres sur tant et tant d’autres compromissions, prévarications, mensonges, captations, abus de biens publics et autres crapuleries qui éclaboussent toute la classe politique française aux Affaires depuis plus de quarante ans…
    Que cette classe politique-là se targue d’être le parangon de la légitimité républicaine, de l’honnêteté citoyenne et la défenderesse de nos si chères libertés – si chères, d’ailleurs, qu’elles en deviennent de plus en plus hors de prix ! – est décidément cocasse.
    Toutefois, et contrairement aux pronostics des instituts de sondage, les Français se sont assez massivement déplacés pour aller voter… et pour qualifier justement les deux prétendants de cette classe politique. Une fois de plus ! Alors, pourquoi attendre que tout change pour que rien ne change ?
    Les supporters de messieurs Hollande ou Sarkozy qui, sincèrement, s’enthousiasment ou se désespèrent à l’idée que l’un ou l’autre l’emporte dans une dizaine de jours, sont touchants. Oui, réellement ! Leurs certitudes les portent avec une telle audace que c’est à elle, paraît-il, qu’on ne manque jamais de les reconnaître…

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