samedi 15 septembre 2012

Le front de gauche et ses liens nauséabonds avec des antisémites notoires.




Jean Luc Mélenchon et les communistes antisémites allemands de Die Linke.



Jean-Luc Mélenchon et Oskar Lafontaine (président de Die Linke (le parti Communiste allemand. (Photo ci- contre)


Cliquez ici pour voir les anciens de la STASI  )

«Des antisémites comme partenaires de coalition?»: c’est le titre d’une étude rédigée par le sociologue Samuel Salzborn et l’expert en antisémitisme Sebastian Voigt.

Derrière ce titre, les deux universitaires se sont attaqués au Parti communiste allemand, Die Linke, et à sa « tolérance » plus qu’accrue vis-à-vis des positions antisémites et/ou anti-israéliennes dans ses rangs. Si leur travail n’est pas encore publié, la Frankfurter Rundschau vient d’en permettre, en exclusivité, le téléchargement.

L'étude en document PDF : Cliquez ici pour télécharger.

Selon les auteurs, la tendance émane surtout des fédérations communistes de l’Allemagne de l’Ouest. Salzborn explique au quotidien Die Welt que «derrière cela, il y a une tradition anti-impérialiste qui trouve son origine dans la rhétorique des groupuscules communistes très influents de l’Allemagne de l’ouest des années 70».

Mélenchon ? La haine marxiste !
La presse ne manque pas de rappeler une polémique survenue il y a quelques mois du côté de Duisbourg, une ville de l’ouest de l’Allemagne. Le Spiegel écrit:  
«Un flyer de contenu antisémite accompagné d’un logo mêlant une étoile de David à une croix gammée avait fait surface sur le site de la fédération de cette ville de la Ruhr. Un lien conduisait vers un appel au boycott des produits israéliensLe parquet avait procédé à une mise en examen du parti».

Image d'origine communiste contrôlée.
Aujourd’hui, si quelques voix du parti communiste crient à la calomnie, et si de nombreux "camarades" se mobilisent, d’autres donnent raison à l’étude, note la Frankfurter Rundschau:

«Stefan Liebich est l’ancien chef de la fédération berlinoise du Parti Communiste Allemand Die Linke. Entre temps, il s’est mis à siéger à l’Assemblée. Lui n’en peut plus. Il y a quelques jours, Inge Höger, sa collègue de groupe parlementaire, s’est produite dans une conférence de sympathisants du Hamas. Lors de son discours, elle a tendu une carte du Moyen-Orient sans Israël. "J’ai perdu patience. Aujourd’hui, les membres qui veulent combattre les sorties antisémites au sein du Parti doivent élever la voix", a-t-il confié au quotidien.»

Mélenchon ? C'est Staline !
Étant donné leurs origines, le Parti Communiste Allemand comme le Front de Gauche se croient naturellement immunisé contre l’antisémitisme.

La très communiste et criminelle RDA, sous l’impulsion d’un parti d’Etat, le SED, n’a jamais vraiment poussé sa population à travailler le passé nazi de l'Allemagne.

La Frankfurter Rundschau rappelle:
«À l’époque, le national-socialisme a été représenté comme la machination d’un groupe de quelques capitalistes. Dans cette perspective, l’antifascisme est-allemand est devenue une évidence érigée au rang d’idéologie étatique, qui a ensuite servi le combat anti-impérialiste, et par là, l’hostilité à l’égard d’Israël et le soutien aux dictatures arabes

Et à l’Ouest de l’Allemagne, le Parti Communiste Allemand s’est rangée derrière cette ligne antisémite funeste, explique un des auteurs de l’étude:

«La question juive, devenue taboue après le génocide, a été relayée par la question des relations avec l’état israélien


Jean Luc Mélenchon chez l’antisémite Chavez au Venezuela

Mélenchon et Chavez ? C'est l'amour !
L’on connaît depuis longtemps l’attachement du député marxiste à l’Amérique latine, et surtout aux puantes révolutions communistes qui se sont produites là-bas, et qui lui servent de modèle, ce qu’il reconnaît d’ailleurs bien volontiers.

Ainsi il tire son concept de « révolution citoyenne » de l’Equateur ou encore sa volonté de mettre en place une nouvelle constitution du Venezuela. La presse marxiste d’Amérique latine n’avait d’ailleurs pas tari d’éloge sur lui durant la campagne présidentielle, saluant la « révélation de l’élection présidentielle français », alors même que le président équatorien lui avait adressé une lettre de soutien.

Le « camarade » Mélenchon est critiqué par le PS pour l’attirance qu’aurait l’ancien candidat à la présidentielle pour Hugo Chavez, le président vénézuélien dont les amitiés pour le dictateur iranien et les saillies populistes antisémites ne le rendent guère populaire en occident.

De plus les responsables de la droite molle prennent un malin plaisir à rappeler que pour Jean-Luc Mélenchon, Cuba n’est pas une dictature. On se souvient en effet du clash qui avait eu lieu entre l’ancien sénateur et des journalistes sur ce sujet, car en effet, pour Jean-Luc Mélenchon, Cuba n’est ni une dictature, ni une démocratie, étant donné l’embargo américain qui pèse sur le pays depuis de nombreuses années Cuba reste figé dans une sorte de « révolution » en devenir qui ne demanderait qu’à s’accomplir.

Jean-Luc Mélenchon confesse « beaucoup de sympathie et d’admiration pour la Révolution cubaine contre l’empire américain » (1)

Jean-Luc Mélenchon est-il aussi admiratif de l’antisémite Hugo Chavez ? Lui-même disait que non, en avril dernier sur BFMTV où il expliquait que « Chavez n’est pas un modèle mais une source d’inspiration, c’est le volontarisme d’un Chavez, d’un Correa, d’un Lula, d’une Kirchner (…) qui me sert de source d’inspiration ». Et il a plusieurs fois répété qu’il n’admirait pas Chavez mais plutôt Correa chef d’un état «  connu pour ses violations continues de la liberté de la presse » (Le Figaro), comme « malmenant la liberté d’expression chez lui » (Le Monde), comme quand il n’est pas carrément traité de « dictateur » (dans les médias latino-américains) ou Lula. Ah Lula  le bon président brésilien Luis Inacio «Lula» Da Silvia un très bon ami lui aussi du dictateur islamiste antisémite iranien Ahmadinejad et de ses boss les Ayatollahs.

"Lula" Da Sivia sert la main d'un antisémite.
La poignée de main de Montoire ?
Lula qui au cours d’une visite en Israël en 2005 avait insulté Israël par son refus, au dernier moment de visiter le tombeau de Théodore Hertzl, le père idéologique de l’Etat moderne d’Israël. Da Silva était au courant de cette visite depuis plusieurs mois et n’avais jamais dit non. S’il avait dit non, il n’aurait d’ailleurs jamais été invité en Israël puisque la visite au tombeau est une obligation prévue par la loi diplomatique israélienne. Lula devient ainsi le premier président à humilier Israël sur son territoire. « La décision de Lula est une insulte pour les citoyens d’Israël et pour les communautés sionistes dans le monde, y compris la communauté juive du Brésil » se fendait l’Organisation Sioniste Mondiale dans un communiqué. Mélenchon admet se sentir proche de ces antisémites notoires ; quelle honte ! Bien digne d’un marxiste trotskiste. En 2006, sur son blog, il avait désapprouvé la « politique étrangère » du dirigeant vénézuélien qui est très controversée en occident. Mais pas son antisémitisme viscéral. La preuve de l'antisémitisme de Chavez ! Cliquez ICI.

Néanmoins, l’enthousiasme manifeste qu’il exprime concernant son déplacement au Venezuela sert abondamment à servir les critiques, outre la défense qu'il a pu apporter au président du Venezuela en expliquant qu'il n'était pas un dictateur ayant été élu 12 fois sur 13. Mais si l’on peut avoir des doutes sur ses positions personnelles concernant Cuba ou le Venezuela, le comparer tout de suite à Chavez ou Castro est sans doute très exagéré et ne permet pas de parler du fond, à savoir, la politique française…


(1) Quelle belle « révolution » raciste ! En mettant l'accent sur le problème social, la révolution communiste a laissé l'épineux problème racial sous le tapis. «Le communisme a gardé le silence sur la question, constate l'anthropologue métis Rafael Robaina. On a cru qu'en disant qu'on était tous égaux et en offrant les mêmes chances à tous, le racisme n'existerait plus. La société cubaine demeure raciste. On ne peut effacer l'histoire du jour au lendemain.»

Le communisme prétend que la seule différence entre les hommes c'est la classe sociale, les questions ethniques et raciales ont toujours été négligés que ce soit dans l'ex URSS ou à Cuba. Il n'y eut pas une politique de "discrimination positive" aux premiers années de la révolution et l'égalité entre noirs et métisses majoritairement modestes et blancs n'eut pas lieu. La méfiance de Fidel Castro et son entourage par rapport au véritables valeurs populaires cubains, très marqués dans la population noire et métisse alimenta cette manque d'initiative dans l'intégration d'une partie importante de la population cubaine. Des débats il y a eu, mais ils ont toujours été superficiels. Aujourd'hui, comme il est signalé dans le reportage, les difficultés économiques et la crise sociale mettent en évidence cette reforme manquée de la société cubaine.

Alors que les Noirs forment 62 % de la population cubaine – chiffres de l’université de Miami –, comment se fait-il que lors du recensement de 2002, 11 % des Cubains seulement se sont déclarés Noirs ? Pour l’opposant Manuel Cuesta Morua, la raison en est simple : à Cuba, les “Blancs” entretiennent un “racisme cordial” envers les“Noirs”, et l’une des bases idéologiques du régime castriste reste le système dit de l’“avancement”, par lequel les “Blancs” obtiennent les meilleurs logements, les meilleurs emplois, les meilleurs soins, etc.

Si le système était binaire, “Blanc” – “Noir”, près des deux tiers de la population subirait de plein fouet un système d’apartheid. Fort heureusement, le législateur marxiste a établi un riche nuancier qui permet à tout un chacun de se sentir plus ou moins “Blanc”, à l’exception de ceux qui ne le sont pas du tout. La couleur de peau, va ainsi du “negro azul” (noir bleu) au “jabao” (clair de peau) en passant par le “blanconazo” (blanchâtre), le “prieto” (noirâtre), le “moreno” (brun), le “mulatro” (mulâtre), le“trigueño” (brun clair). Un “moreno” pourra faire valoir qu’il est plus proche d’un “jabao” que d’un“negro azul” pour obtenir un meilleur job, dans une économie où les emplois sont à la discrétion du Parti. Malgré l’égalitarisme prôné par le système, les “Noirs-Noirs” restent largement au bas de l’échelle sociale. 85 % des prisonniers de droit commun à Cuba sont des « noirs-noirs »

Les partisans du régime marxiste associent encore la “manipulation du thème racial” à la “subversion contre-révolutionnaire” et ont toujours faussement estimé que l’« égalité des chances » suffirait à surmonter le « racisme ». Parler du « sujet » revient donc à “diviser la Révolution”, à promouvoir un “racisme à l’envers” ou la“subversion raciale”. Bref, pour un vrai marxiste et communiste Castriste, ceux qui évoquent l’existence de racisme sur l’Île ne peuvent être que d’affreux contre-révolutionnaires à la solde des Etats-Unis.

De fait, selon un récent sondage, 80 % des Cubains pensent qu’il n’y a aucune possibilité pour qu’un non Blanc préside un jour le pays. Un comble si l’on pense que Fulgencio Batista, renversé par Castro en 1956, était lui-même un “trigueño”. Au bout d’un demi-siècle de révolution, le régime peine à aligner ses Noirs : en haut de la pyramide du pouvoir, le Conseil d’Etat ne compte qu’un tiers de non-Blancs, le Politburo un cinquième et le Parlement cubain également un cinquième d’élus non-Blancs.
Juan Esteban Lazo Hernandez est certes vice-président de Cuba, mais c’est le seul non-Blanc situé en haut de la pyramide du régime. « La société cubaine vit depuis des années un processus de métissage qui ne se reflète pas en matière de représentation sociale et politique », estime M. Cuesta Morua.

45% des sondés disent avoir déjà été “victimes de discrimination” et 40%, les mêmes pour la plupart, admettent avoir “fait preuve de discrimination”. Pour 82% du panel, il est « très courant » qu’un Cubain soit victime ou fasse preuve de discrimination. Les discriminations étant évidemment d’autant plus vives entre communautés de couleur que la nuance tire vers le noir foncé : lorsqu’il s’agit d’obtenir un emploi, la lutte pour la vie peut parfois se faire féroce entre un “mulatro” et un “negro azul”. Dans le même ordre d’idée, Marx écrivait fort pertinemment : “il y a pire que d’être prolétaire, c’est d’être la femme du prolétaire”. Et dans la Traite transatlantique, ce ne sont pas les Blancs qui allaient razzier les Noirs à l’intérieur des terres africaines : ils se contentaient d’attendre sur les côtes que d’autres Noirs leur ramènent leurs lots de frères de couleur.

« Il faut débattre publiquement du sujet, alerter, dire aux racistes conscients et inconscients que nous avons la capacité de les rééduquer ou de les faire taire » : c’est dans cette veine typiquement marxiste-léniniste digne du MRAP chez nous que l’universitaire (blanc) Esteban Morales propose de mettre un terme au racisme sur l’île. Le problème est que les racistes sont loin d’être parfaitement localisés sur le nuancier en vigueur dans l’Île puisqu’on en trouve un peu partout dans l’ensemble des communautés. On imagine la difficulté de gérer des camps de rééducation « multiraciaux ».

A moins naturellement que le pouvoir n’installe des camps séparés « jabao », « mulatro », « negro azul », etc. Pédagogiquement, le but semblerait alors un peu raté. Et puis « traiter » efficacement plus de 40% de la population peut sembler un défi économique majeur dans une société marxiste totalement paupérisée par un demi-siècle de nauséabond communisme.

Avec l’élection de M. Obama à la présidence des Etats-Unis, le régime marxiste castriste a perdu un argument-massue de sa propagande antiyankee. Les médias de l’Île présentaient en effet traditionnellement les Etats-Unis comme la société de la ségrégation raciale par excellence. “Alors que les Etats-Unis ont élu un Noir [en fait un Métis, ndlr] à la présidence, quarante ans après l’assassinat de Martin Luther King, qu’a fait Cuba en cinquante ans de révolution ?” demande fort justement M. Cuesta Morua, pour lequel“la propagande officielle n’a pas préparé les Cubains à l’élection d’Obama”

Incapable de produire suffisamment de richesses pour satisfaire les besoins de sa population, le régime paléocommuniste de Raul Castro doit, sous peine d’explosion, impérativement trouver une solution à la montée des conflits intercommunautaires. Une tâche qui ne devrait pas se résoudre qu’avec des camps de rééducation…


(2) Source : Le Monde Lorsque le président vénézuélien Hugo Chavez briguait un troisième mandat. L’opposition avait choisi comme candidat Henrique Capriles Radonski, ancien gouverneur de l’Etat de Miranda (à l’est de Caracas).

Tous ceux qui ont assisté à ses discours le savent, Chavez comme Mélenchon a le verbe facile et l’insulte raciste et antisémite constamment sur le bout de la langue.

Il a rejeté un débat télévisé avec le candidat de l’opposition avec un simple argument : ce dernier serait un « nul ».

La disqualification est une ressource commode pour ceux qui refusent la contradiction et le dialogue.

Le Marxiste de type Mélenchon, Chavez, Castro et autres crapules communistes ont une pensée intellectuelle faible et généralement un QI de moule qu’ils compensent en disqualifiant par des mots a fort impacts psychologiques tout les contradicteurs un peu trop convaincants. Le Marxiste est sans scrupule, sa bonne conscience l'autorisant a user de la pire mauvaise fois. Il est inutile de voir en celui-ci un être Humain doué de conscience, il est plus proche psychologiquement du psychopathe, n'ayant aucun scrupule à violer tout principe éthique.

Chavez traite son adversaire de « jalabola » (lèche cul) de l’impérialisme ou de l’Empire et de candidat « majunche » (falot, médiocre). Mélenchon pendant la dernière campagne électorale avait lui traité madame Lepen, de "bête malfaisante"

Chavez se présente lui-même comme « candidat de la patrie ». Il a donc désigné son opposant comme le « candidat de l’anti-patrie ». C’est un classique du répertoire nationaliste : ainsi, « l’anti-France » désignait pêle-mêle les juifs, les maçons, les communistes…

Mais Chavez ne s’est pas contenté de pointer du doigt Capriles comme « candidat de l’étranger » : il est passé de « candidat anti-patrie » à « candidat apatride ».
Ce glissement est lourd de sens. Dans le premier cas, on est dans le système binaire, pour ou contre, ami ou ennemi. Dans le second cas, on désigne un candidat qui n’a pas de patrie, qui n’a pas sa place dans le concert des nations. Appliqué à Capriles Radonski, catholique d’origine juive, le sous-texte implicite renvoie à la figure du juif dépourvu de patrie, le juif de la diaspora, le juif errant.

Une autre limite est franchie lorsque Chavez traite Capriles de « porc ». La bestialisation et la déshumanisation de l’ennemi sont courantes dans la rhétorique des nationalismes. Le péronisme appelait ses opposants des « gorilles », le castrisme désignait les exilés comme des« gusanos » (vermine). Le bestiaire n’est pas indifférent : « porc », « vermine » ou « rat » n’ont pas le même sens qu’« âne ».

Le discours de Chavez libère la parole de ses militants. Le site chaviste Martillo Rojo écrit ainsi le nom de l’opposant : CAPrile$ Raton$ki. CAP évoque l’ancien président social-démocrate Carlos Andrés Pérez, dit CAP, destitué pour corruption. Le changement d’une simple lettre pour écrire Rat-onski se passe d’explications. Le signe du dollar incrusté dans le nom en renforce la connotation antisémite.

Pour d’autres partisans de l’amalgame, l’antisémitisme est une invention du sionisme, « propriétaire de la plupart des institutions financières de la planète, qui contrôle presque 80 % de l’économie mondiale et l’industrie de la communication dans sa presque totalité » (Adal Hernandez, Radio Nationale du Venezuela).

Voilà donc Capriles présenté comme le candidat du « sionisme international » : jadis, on disait la juiverie internationale ; maintenant on préfère l’amalgame entre Israël et les juifs.
Sur les réseaux sociaux, les chavistes se lâchent : « Radonsky se moque du peuple et de sa foi, ce sioniste est étranger même s’il a une carte d’identité et un acte de naissance vénézuéliens » (@BasemTajeldine; l’utilisation de l’Y plutôt que l’I rend le nom plus exotique).

Alors que Chavez invoque sa foi catholique à tout moment, « Radonsky est un hypocrite. Il se déguise en chrétien et prie la Vierge pour chercher le vote. En réalité il est sioniste. Il hait Jésus et la Vierge » (@BasemTajeldine).

Le négationnisme trouve des suiveurs au Venezuela : « Je ne crois pas à la théorie de l’Holocauste inventée par l’Empire [américain] et ses collaborateurs ». (@RemlawiEnrique[N33] @N33DOS).

En 2011, une journaliste avait fait la promotion des Protocoles des sages de Sion, le faux fabriqué en Russie tsariste pour justifier les pogroms, sur l’antenne de Radio Nationale du Venezuela, propriété de l’Etat. Le texte des Protocoles est disponible sur le site Chaviste.

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