dimanche 8 septembre 2013

Pourquoi je ne suis pas socialiste.







Je ne suis pas socialiste par ce que le socialisme est une idéologie puante et criminelle dont c’est inspirée Adolf Hitler et ses abominables complices nazis pour leur œuvre nauséabonde criminelle contre l'humanité.

Pour preuve vous trouverez ci après un extrait d'une brochure nazie (Joseph Goebbels et Mjölnir, Die verfluchten Hakenkreuzler. Etwas zum Nachdenken, Munich, Verlag Frz. Eher, 1932) dont plusieurs centaines de milliers d'exemplaires furent imprimés et largement distribués à partir de 1928-1929. Il s'agit d'un bon résumé des lignes essentielles du programme politique socialiste national juste avant la prise de pouvoir par Hitler en 1933. La brochure comprenait cinq caricatures de Mjölnir, dessinateur de Goebbels.
 
Hitler Staline même combat de la haine
Le parti socialiste national attirât ses membres les plus notables au sein  du courant idéologique dans lequel lui-même avait inscrit sa démarche : la gauche socialiste révolutionnaire. Ce fait est d’ailleurs rappelé par le bon docteur Goebbels, qui dans une entrée de son journal, remarquait que le national-socialisme avait avec le communisme « d’étroites affinités électives ». Sur les communistes, il note : « Ces gens-là me sont sympathiques. C’est dans leur rang que se recrutent nos partisans les plus fanatiques. »


Joseph Goebbels ancien marxiste

Pourquoi sommes-nous socialistes ?

Par Joseph Goebbels
Nous sommes socialistes parce que nous voyons dans le socialisme, qui est l'union de tous les citoyens, la seule chance de conserver notre héritage racial et de récupérer notre liberté politique et rénover notre État allemand.
Communistes = nazis
Le socialisme est la doctrine de la libération pour la classe ouvrière. Il favorise la montée de la quatrième classe et son incorporation dans l'organisme politique de notre patrie, et il est inextricablement lié à la rupture de l'esclavage présent, recouvrant la liberté allemande. Le socialisme, par conséquent, n'est pas simplement une question relative à la classe opprimée, mais celle de tous, pour libérer le peuple allemand de l'esclavage et est l'objectif de la présente politique. Le socialisme atteint sa véritable forme qu'au travers d'une fraternité de combat total avec les énergies d’avant-garde d'un nationalisme nouvellement réveillé. Sans le nationalisme il n'est rien, seulement un fantôme, rien qu'une théorie, un château dans le ciel, un livre. Avec lui, il est tout, l'avenir, la liberté, la patrie !

Le péché de la pensée libérale a été de négliger les forces de construction de la nation du socialisme, laissant ses énergies partir dans des directions antinationales. Le péché du marxisme a été de dégrader le socialisme en une question de salaires et d'estomac, de le mettre dans une situation de conflit avec l'État et son existence nationale. Une compréhension de ces deux faits nous conduit à un nouveau sens du socialisme, qui voit sa nature nationaliste, de renforcement de l'État, libératrice et constructive.

Le bourgeois est sur le point de quitter la scène historique. À sa place viendra la classe productive des travailleurs, la classe ouvrière, qui a été opprimée jusqu'à aujourd'hui. Elle commence à remplir sa mission politique. Elle est impliquée dans une lutte dure et amère pour arriver au pouvoir politique, tandis qu'elle cherche à faire partie de l'organisme national. La bataille a commencé dans le domaine économique ; elle finira dans le politique. Ce n'est pas seulement une question de salaires, ni seulement une question de nombre d'heures de travail par jour – bien que nous ne pourrons jamais oublier que c'est là une partie essentielle, peut-être même la plus importante de la plate-forme socialiste – mais beaucoup plus une affaire d'intégration d'une classe puissante et responsable dans l'État, peut-être même d'en faire la force dominante des politiques futures de la patrie. La bourgeoisie ne veut pas reconnaître la force de la classe ouvrière. Le marxisme la corsète dans un carcan qui la ruine. Alors que la classe ouvrière, se vidant de son sang, se désintègre peu à peu dans le marxisme, la bourgeoisie et le marxisme se sont entendus sur les lignes générales du capitalisme, et ont pour tâche maintenant de protéger et défendre cet état des choses de diverses manières, souvent dissimulées.

Nous sommes socialistes parce que nous voyons la question sociale comme une question de nécessité et de justice pour l'existence même d'un État pour notre peuple, non pas une question de pitié bon marché ou de sentimentalisme insultant. Le travailleur réclame un niveau de vie qui correspond à ce qu'il produit. Nous n'avons pas l'intention de mendier pour ce droit. L'intégrer dans l'organisme étatique n'est pas seulement une affaire importante pour lui, mais pour la nation toute entière. La question est plus large que la journée de huit heures. Il s'agit de former un nouvel état de conscience qui inclut tous les citoyens productifs. Étant donné que les pouvoirs politiques actuels ne sont pas capables ni désireux de créer une telle situation, le socialisme doit se battre pour l'atteindre. Il est intérieurement et extérieurement un slogan de la lutte. A l'intérieur, il vise en même temps les partis bourgeois et le marxisme, parce que les deux sont des ennemis jurés de l'État ouvrier à venir. A l'extérieur, il est dirigé contre tous les pouvoirs qui menacent notre existence nationale et l'avènement de l'État national-socialiste.


« Le travailleur qui réfléchit se tourne vers Hitler », caricature de Mjölnir.

Le socialisme n'est possible que dans un État qui est uni au niveau national et libre au niveau international. La bourgeoisie et le marxisme sont responsables de ne pas avoir atteint les deux objectifs, l'unité nationale et  la liberté internationale. Peu importe que ces deux forces se présentent comme nationales et sociales, elles sont les ennemis jurés d'un État socialiste national.
Nous devons donc briser politiquement ces deux groupes. Les lignes du socialisme allemand sont nettes, et notre chemin est dégagé.

Nous sommes contre la bourgeoisie politique, et pour un authentique nationalisme !

Nous sommes contre le marxisme, mais pour un vrai socialisme !


Nous sommes pour le premier État national allemand de nature socialiste !


Nous sommes pour le Parti socialiste national des travailleurs allemands ! (Traduction de NSDAP : Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei il peut également être traduit par : Parti ouvrier allemand socialiste National, le fameux Parti dit Nazi. Le Parti ouvrier allemand (DAP Deutsche Arbeiter Partei)
est fondé le 5 janvier 1919 par Anton Drexler, Adolf Hitler en deviendra la même année le 55ème membre, ce n’est que vers fin 1920 que le parti des travailleurs changera de nom pour devenir le NSDAP.).

Mais il y a existé au sein du parti nazi deux hommes très proches d’Hitler, Gregor Strasser et Otto Strasser. Gregor, le grand frère, entra au NSDAP dès 1920, son cadet Otto Strasser Voir ici continua quelques années à l’intérieur de la gauche allemande il adhéra au Parti social-démocrate. Collaborateur du Vorwärts, le quotidien du SPD, et fondateur de l’Association universitaire des anciens combattants socialistes, il combattit le putsch réactionnaire de Kapp à la tête d’un groupe paramilitaire « Centurie rouge ». Il participera à la répression de la révolution communiste à Munich (République des conseils de Bavière) au sein du corps franc du général Ritter von Epp, ce qui manifeste une certain méfiance du bolchevisme. En avril 1920, il quitta le SPD sur sa gauche et participa aux travaux du Parti social-démocrate indépendant, important parti de gauche. Dans le cadre de ce parti, rencontra Ovseï-Gerchen Aronovitch Radomyslski-Apfelbaum dit Zinoviev, avec qui il se lia et qui su le convaincre de la validité de l’expérience révolutionnaire bolchevique en tant que telle et comme modèle d’action pour l'Allemagne, ainsi que du nécessaire rapprochement de l’Allemagne et de la Russie. 

Communistes = socialistes= nazis

En 1920, Gregor Strasser Voir ici adhèrera au NSDAP. En février 1924 en raison de ses agissements en faveur du Parti Socialiste National, interdit après le putsch de la brasserie en 1923, il est emprisonné et condamné en avril à un an d'emprisonnement mais il est libéré quelque semaines plus tard et est élu au Parlement de Bavière le 4 mai comme représentant du Bloc Populaire proche des socialistes nationaux. Il prend ensuite les commandes du Mouvement Socialiste National de la Liberté (l'appellation « NSDAP » avait été interdite) avec le général Ludendorff. Gregor est l'un des tous premiers adhérents (numéro 9) du nouveau NSDAP créé le 26 février 1925 à Munich par Adolf Hitler et devient premier Gauleiter de Basse-Bavière/Oberpfalz. À Berlin, ensemble avec son frère Otto, ils développent un profil idéologique socialiste. Avec Joseph Goebbels les deux frères, au sein du Parti Socialiste National des Travailleurs Allemands, représentent bien une véritable voie de gauche anticapitaliste et sociale révolutionnaire, avec laquelle ils comptent gagner les classes laborieuses pour le parti.

Les frères Strasser se prononçaient notamment en faveur de la suppression de la propriété privée, ce qu’Hitler refusa : il considérait pour sa part que ces questions de forme étaient inessentielles.

En plus de Joseph Goebbels et des frères Strasser, de nombreux intellectuels appuyèrent leur combat pour davantage de socialisme. Ce fut le cas du comte Ernst zu Reventlow proche de Gregor Strasser. Fils d’un riche noble du nord de l’Allemagne, il commença sa carrière dans la marine impériale allemande, avant de se lancer dans la politique.  Plusieurs fois candidat pour le Parti socialiste allemand, puis journaliste auprès du journal du Parti communiste, il se rapproche ensuite du mouvement völkisch, de tendance sociale nationaliste, avant de rejoindre finalement le NSDAP, séduit par l’alliance entre socialisme et nationalisme. 

Après ça on nous serinera que les nazis étaient d’extrême droite !

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