Le 25 janvier 2006,
l’Assemblée parlementaire du conseil de l’Europe condamnait officiellement « les
violations massives des droits de l’homme commises par les régimes
communistes ».
Le Parlement européen
reconnaissait, en 2008, l'Holodomor en Ukraine (Le génocide organisé par les
communistes qui a fait 9 millions de mort) comme « un
crime effroyable perpétré contre le peuple ukrainien et contre
l'humanité ».
La vidéo ci-dessus qui raconte cet épisode atroce de famine
organisée et exécutée sans pitié au nom de l’abominable idéologie marxiste,
devrait être diffusé dans les classes d’histoire, car il démolit deux mythes
particulièrement bien ancrés dans notre pays :
Le premier mythe nous fait croire que le communisme,
contrairement au nazisme, part d’une bonne intention.
Le deuxième mythe consiste à faire croire que le socialisme
internationaliste et le socialisme nationaliste des nazis n’ont absolument
rien en commun, grâce à une petite ruse sémantique.
Si au lieu de traduire le mot « nationalsozialismus »
par « national-socialisme » qui est un germanisme, on le
traduit en bon français par « socialisme national » là, ça change
tout, et ça… socialistes, marxistes culturels et autres roses vermines, sans
oublier les communistes et autres
petites taches rouges du Front de Gauche bien sur ne le veulent pas !
Front de gauche ? Des Nazis !
Le marxisme, doctrine du socialisme, c’est
la guerre des classes, et la guerre des classes implique de liquider une partie
de la population. Car pour restructurer la société, il faut d’abord éliminer
non seulement les opposants politiques, mais aussi les intellectuels, les
meilleurs travailleurs, les artistes non conformes à la doctrine, etc.
Victimes du communisme.
C’est le genre d’ingénierie sociale qu’ont
mis en œuvre Lénine, Staline, Mao et Pol Pot, pour ne citer que les socialistes
les plus sanguinaires. Cette ingénierie sociale forcée répond aussi à des
critères ethniques lorsque des peuples entiers sont considérés comme trop « réactionnaires ».
Karl Marx prônait lui-même « l’extermination
des Serbes et autres peuplades slaves, ainsi que les Basques,(?) les Bretons (?) et
les Highlanders d’Écosse », tous "peuples" trop peu évolués pour la
révolution socialiste et faisant ainsi obstacle à l’inéluctable « progrès…»
de l’humanité.
Communistes assassins !
Elle fut mise en œuvre par le socialiste
nationaliste Hitler qui avait décrété
que « les races nuisibles au progrès socialiste de l’Humanité »
étaient cette fois les Juifs, les tziganes les homosexuels et les personnes de couleur,
entre autres…
C’est cette ingénierie sociale qui
imprégnait sans doute la tête de Pierre Bergé, quand il souhaitait « des
bombes sur la Manif pour tous », et celle de Clément Méric disant que
« ils ne devraient même pas être vivants… ».
Nazisme = Communisme
Le décret 0054 du NKVD soviétique du 28
novembre 1940, publié en pleine période du grand amour entre les communistes et
les nazis, précisait : « Doivent exclus de la société socialiste…les
membres de partis politiques, les personnes qui ont été exclues du parti
communiste, les réfugiés, les étrangers, les personnes qui ont voyagé à
l’étranger, les personnes qui font de l’espéranto ( ?), les philatélistes
( ??), le personnel de la Croix Rouge, les personnes qui mènent une
activité paroissiale, les membres du clergé, les membres actifs des communautés
religieuses, les aristocrates, les propriétaires terriens, les commerçants
aisés, les banquiers, les industriels, les restaurateurs et les hôteliers… ».
Michel Alain Labet de Bornay aristocrate philatéliste.
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Je sais, je vais en
hérisser plus d'un avec ce NON, mais je ne suis pas pour les « Interdictions »,
les « censures », les lois « mémorielles », qu'elles
qu'elles soit, Dieudonné, Faurisson, l’ AARGH, etc. etc., comme historien
libertarien et patriote Français de souche, je suis aussi pour l’abolition de
la loi marxiste stalinienne Fabian Gayssot véritable terrorisme intellectuel.
La
loi liberticide Fabius Gayssot de 1990 est la seule grande loi bien dégueulasse due à la "gauche"
mais surtout au B'naï
B'rith , même si la « droite » molle, qui lui était hostile, l'a
fait appliquer, revenue au pouvoir, comme si elle avait été sienne.Loi votée en catimini par quelques députés
pendant les vacances de l’été 1990. Elle vise à réprimer toute interprétation
de l’histoire qui serait contraire à la version officielle qu’en donnent les
vainqueurs de la seconde guerre mondiale lors du Tribunal de Nuremberg. La
France glisse doucement vers une dictature insidieuse mais réelle si doucement
que personne ne s’en rend compte et ne proteste. C’est ce que j’appelle le
marxisme culturel : Avec en France l'affaire de l’historien
Jean Plantin, on a franchi récemment un pas supplémentaire vers l'encadrement
de la liberté de pensée. Plus exactement, on a épousé les règles en vigueur
dans le régime soviétique en posant le principe que tout déviant, condamné
pénalement en vertu d'une loi - la loi Gayssot -, doit être relégué au rang d'Untermensch,
en attendant la mort civile... C'est ainsi que M. Jean Plantin, après avoir été
condamné par le juge correctionnel, a fait l'objet de différentes procédures
administratives visant à l'annulation de ses diplômes universitaires (diplôme
d'études approfondies en histoire et maîtrise d'histoire).
Et puis il y
a bien pire que la "quenelle" geste somme toute anodin et anti système.
Il y a "La haut c'est le soleil" avec le geste et la mimique vraiment
antisémite ! Voir là : Yannick
Noah antisémite ?
Michel Alain Labet de Bornay.
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L’incapable qui nous sert de Premier ministre a montré qu’il était également un imbécile. Il a réussi, en commandant un rapport dont il a osé se féliciter de la qualité des travaux, à montrer brutalement à la France entière à quoi se résumait la vision de ses dirigeants actuels : fin de l’intégration, fin de la République, fin de la laïcité, préférence immigrée, communautarisme et police de la pensée, au nom de la lutte contre les discriminations. Une déclaration de guerre aux Français et à la France, qualifiée de territoire « arabe oriental », la volonté de mettre fin à un modèle républicain qu’ils ont déjà bien abîmé. Un truc tellement énorme que toute la classe politique et médiatique s’est réveillée, comme l’ont montré les premiers articles de Gérard Brazon, Lazare Zylbergleitt, Josiane Filio ou Caroline Corbières, qui, complétant l’article de la remarquable Malika Sorel, dans Le Figaro, ont tout dit.La suite ici: Fin de la France : le stupide Ayrault crache le morceau !
L’immonde
gouvernement socialiste marxiste culturel annule pour plus de quatre millions
d’Euros de dettes de « l’Humanité », l’organe de propagande de la haine
communiste pour des raisons éminemment électorales.Voir
ici.
Le 6 mars 1953, l’Humanité titre sur la mort de Staline
Ce cadeau du législateur
socialiste rentrerait dans le cadre des aides à la presse, qui coûte aux
Français 1,2 milliard d’euros par an, une pilule empoisonnée de plus en dure à
avaler pour nombre d’entre eux. L’abandon
de la créance de 4 millions d’euros se pare en plus bien sûr des oripeaux de la
nécessaire pluralité de la presse.
Les raisons invoquées pour
l’abandon d’une telle créance seraient cocasses s’il ne s’agissait pas de
l’argent des contribuables.
Dans notre époque de très
grave crise économique et de société, le contribuable français appréciera certainement
modérément de voir l’argent public distribué à une gazette marxiste haineuse et
raciste qui a vocation à disparaître.France Soir, Infomatin, Le Matin de Paris ont bien mis eux la clé sous
la porte.
Moi contribuable,
je ne veux pas payer la dette du journal l’humanité ! Je signe et je fais
signer cette pétition.
Mais il est une chose que les Français
doivent connaître. Le prêt accordé par l'Etat à la société détentrice du
périodique l'Humanité date du 28 mars 2002, soit moins d'un mois avant
le premier tour des élections présidentielles qui eut lieu le 21 avril. Le
Conseil Européen de Barcelone, au contenu particulièrement néfaste et dont a
découlé la loi de Nicolas Sarkozy sur les retraites, avait eu lieu les 15 et 16
mars 2002.
En mars 2002, le
gouvernement de Lionel Jospin, auquel le Parti Communiste a participé tout au
long de la période 1997-2002 malgré son record de privatisations et de politique
antisociale, opérait encore une privatisation partielle (ouverture du capital
et introduction en bourse) des Autoroutes du Sud de la France. Vinci Autoroutes
en est le propriétaire actuel.
Le présent effacement de
la dette de l'Humanité intervient mois de quatre mois avant les
élections municipales (prévues pour la fin du mois de mars 2014) et de six mois
avant les élections européennes (prévues pour la fin du mois de mai).
Pour clore cet article et
pour éviter de me faire traiter de farceurlié à de petits groupes eux-mêmes liés à des droites extrêmes, demandant
à l’État de ne pas payer les dettes de l’Humanité par le camarade
directeur de l’ Huma Patrick le Hyaric et suite à cet article Voir
ici: Pétition pour la fin des subventions à la presse ; article qui
rejoint ma position de polémiste libertarien,j’appelle outre la cessation
immédiate de toute subventions à l’organe de la haine rouge l’Humanité et outré
que chaque année la presse française touche près d’un milliard d’euros de
subventions, payées par nos impôts. J’appelle donc à leur fin pour le retour à
une démocratie saine car ces subventions pervertissent la liberté de la presse
et permettent aux politiques de s’assurer la loyauté des journalistes. Le
camarade membre du comité central du PCF Patrick le Hyaric ne pourra qu’être
pour une fois que d’accord avec moi, lui qui écritICI : « S’il s’agissait de
critiquer un vote des députés ou un choix gouvernemental, rien de plus naturel
en démocratie. Mais c’est de bien autre chose dont il est question qui se
résume en un seul slogan à propos de nous : qu’ils crèvent ! ».
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Le gouvernement
socialiste annule pour plus de quatre millions d’Euros de dettes de «
l’Humanité », l’organe de propagande de la haine communiste.
Quatre
millions d’Eurosc’est grosso
modo, plus de dix « travailleurs » payés au SMIC pendant 20 ans !
L’état socialiste s'assoie sur 4 millions
d'euros ! Le gouvernement marxiste culturel a décidé de ne plus réclamer
au bulletin L'Humanité le
remboursement du prêt effectué en 2002, pour aider le quotidien alors en
grandes difficultés financières. C'est par un amendement au projet de loi de
finances rectificatif 2013, relevé par l'AFP, que l'Etat a accepté d'effacer
l'ardoise de l‘organe de propagande du Parti Communiste.
Moi contribuable, je ne veux pas
payer la dette du journal l’humanité ! Je signe et je fais signer cette
pétition.
« Les créances détenues sur la Société nouvelle du journal
L’Humanité au titre du prêt accordé le 28 mars 2002, réaménagé en 2009 et
imputé sur le compte de prêts du Trésor n° 903‑05, sont abandonnées à hauteur
de 4 086 710,31 euros en capital. Les intérêts contractuels courus et échus
sont également abandonnés. »Voir
ici.
Ce cadeau du législateur
rentrerait dans le cadre des aides à la presse, qui coûte aux Français 1,2
milliard d’euros par an, une pilule de plus en dure à avaler pour nombre
d’entre eux.
Dans notre époque de très
grave crise économique et de société, le contribuable français appréciera certainement
modérément de voir l’argent public distribué à une gazette marxiste haineuse et
raciste qui a vocation à disparaître.
Les « citoyens »,
les retraités qui vivent avec moins de 600 Euros par mois, les salariés au SMIC,
les chômeurs au RSA, les petits patrons écrasés par les charges «
sociales » qui actuellement souffrent terriblement du socialisme, des fins
de mois plus que difficiles, du manque de débouchés pour leurs productions ou
de la cherté du crédit, sont offusqués par un tel cadeau aux propagateurs de la
haine et à l’organe de propagande antisémite l’Humanité en faillite, en échec
total comme toujours avec cette idéologie pestilentielle.
Moi contribuable, je ne veux pas
payer la dette du journal l’humanité ! Je signe et je fais signer cette
pétition.
Il ne s'agirait pas vraiment d'un cadeau
fait au quotidien marxiste stalinien mais plutôt de l'officialisation d'une
situation de fait, tant la gazette rouge du sang des 150 000 000 de victimes du communisme, qui reste toujours
dans le « rouge », est incapable d'honorer sa créance. "La Société nouvelle du journal L'Humanité ne peut
faire face au remboursement de sa dette contractée auprès de l'État (prêt du
fonds de développement économique et social - FDES), sur le capital et les
intérêts, parce que ses résultats financiers sont très faibles et qu'elle ne
possède plus d'actifs. Par conséquent, il est nécessaire d'abandonner cette
créance détenue par l'État sur cette société", dit l'exposé
des motifs de l'amendement. Le bulletin communiste n'est plus diffusé qu'à
42.000 exemplaires, selon les chiffres OJD (juillet 2012-juin 2013), soit -7%
sur un an.
Seulement voilà, le
gouvernement socialiste pense passer outre les lois de la république, en effet,
l’article 24 de la loi organique relative aux lois de finances précise que «
toute échéance qui n’est pas honorée à la date prévue doit faire l’objet, selon
la situation du débiteur :
- soit d’une décision de recouvrement immédiat, ou, à défaut de recouvrement,
de poursuites effectives engagées dans un délai de six mois ;
- soit d’une décision de rééchelonnement faisant l’objet d’une publication au
Journal officiel ;
- soit de la constatation d’une perte probable faisant l’objet d’une
disposition particulière de loi de finances et imputée au résultat de
l’exercice dans les conditions prévues à l’article 37. Les remboursements
ultérieurement constatés sont portés en recettes au budget général. »
Le gouvernement socialiste
voudrais passer outre les lois de la république en arguant du fait que la
Société nouvelle du journal de la feuille nauséabonde de la haine rouge « L’Humanité »
ne peut faire face au remboursement de sa dette contractée auprès de l’État
(prêt du fonds de développement économique et social – FDES), sur le capital et
les intérêts, parce que ses résultats financiers sont très faibles et qu’elle
ne possède plus d’actifs et que par conséquent, il serait nécessaire
d’abandonner cette créance détenue par l’État sur cette société. C’est la troisième
en Pire !
Moi contribuable, je ne veux pas
payer la dette du journal l’humanité ! Je signe et je fais signer cette
pétition.
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Le stade de Soweto a été l’espace d’un
moment « le centre du monde », « le nombril de la
planète », puisque l’hommage à Rolilala Mandela s’y est déroulé en
présence d’une centaine de chefs d’Etat. Deux d’entre eux seulement
étaient invités à prendre la parole. D’abord le vieux criminel communiste
Raul Castro, au nom de la solidarité marxiste que l’Etat cubain a
manifesté de tout temps aux révolutionnaires marxistes de l’ANC. Mandela, « qu’
Amnesty International, pourtant d’une extrême indulgence à l’égard des
militants « progressistes » avait toujours refusé
de l’adopter comme « prisonnier de conscience » du fait
qu’il ne rejetait pas la violence », fut aussi un des
dirigeants clandestin du Parti Communiste sud africain, malgré ses
dénégations. Outre le dirigeant communiste cubain, a pris également la parole Baraque
Obamanania, à la tête d’une première puissance mondiale se voulant elle
aussi « arc-en-ciel », président symbole du très
allah con mondialisme métissé qui serait notre avenir indépassable et le
modèle commun planétarisé obligatoire. La boucle est bouclée,
le symbole assez transparent…
Les plus grands enfoirés de
ce monde, dont le président américain Barack Obamanania et le
secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, ont donc pris part avec des milliers
de Sud-africains à une gigantesque cérémonie en hommage au camarade
marxiste Rolilala Mandela, décédé à l'âge de 95 ans.
Mandela? Un terroriste communiste !
Il ne semble pas qu’il ai fait
l’unanimité sur ses actions même dans le monde communiste puisque ici, dans un
article très marxiste titré : « Le monde capitaliste
pleure Nelson Mandela » on peut lire : « Bien sûr,
les milieux populaires eux aussi croient devoir pleurer Mandela et le révérer.
Mais ce qui peut permettre de comprendre quel rôle ce dirigeant bourgeois
nationaliste a joué, c’est pourquoi les classes dirigeantes acclament
unanimement Mandela. » la suite ici
Cet article a donné lieu à un
commentaire marxiste culturel symptomatique : « Si Mandela et tous
ces traitres à leur peuple et à la classe ouvrière que sont les staliniens
n’avaient pas vendu leur conscience et leur combat aux capitalistes étrangers,
on n’en serait pas là. Le résultat de leurs magouilles est une Afrique du Sud
vendue aux capitalistes : de l’exploitation raciste visible et officielle
sous l’apartheid, on est passé à l’exploitation "raciste
invisible". » Personnellement j’adore… ! Les idéologues marxistes
culturels d’aujourd’hui prétendent qu’il ne faut pas confondre communisme et stalinisme.
Seulement voilà, les communistes actuels (il en reste surtout sous la forme de
marxistes culturels), pensent toujours bêtement comme Marx que la société, en
se développant, passe à des formes d’organisation de plus en plus élevées, ce
qui est faux. Le degré le plus élevé, le plus progressiste, du développement
social serait la société communiste et l’édification du socialisme, but final
de la lutte des « travailleurs » de tous les pays pour leur
émancipation. Le courant de pensée
marxiste se veut toujours porteur d'une forme pseudo « scientifique »
de socialisme, fondé sur une analyse du capitalisme et soi disant « dépassement »
de celui-ci par le biais de la lutte des classes et du passage à la propriété
sociale des moyens de production.
Communistes ? Assassins !
La société communiste passe par
deux immondes phases de développement : une phase inférieure, appelée socialisme,
et une phase supérieure, appelée communisme.
Les deux phases du communisme
possèdent la même base économique : L’expropriation, le vol des propriétaires
autrement dit propriété « sociale » des moyens de production, qui
déterminerait le développement harmonieux de l’économie nationale. Elles
seraient caractérisées l’une et l’autre par l’absence de « classes »
exploiteuses et l’absence d’exploitation de l’homme par l’homme, d’oppression « raciale »
(sic) et nationale. Pour ce faire les « camarades » ont mis en place
la dictature du prolétariat qui est un concept marxiste désignant la phase
transitoire de la société entre le capitalisme et le communisme qui verra
l’édification du socialisme. Pour
les curieux voir ici
Seulement voilà, ils ne sont
jamais sorti de cette « dictature » de ce véritable capitalisme
d'état, avec le culte de la personnalité, le travail forcé dans des camps d’extermination
dit goulags ou laogai (ici) qui
va avec, (voir le Viet Nam, la chine, Cuba et surtout la Corée du Nord, sans
oublier le Zimbabwe). Ils auront beau nous chanter la chansonnette que Staline
était un « dictateur » qui
se servait du communisme pour justifier ses actes. ça ne « marche »
plus, les supporters des goulags (Voir
ici l'horreur est humaine) ,il y en a encore, comme des purges,de l’holodomor
au 9 millions de victimes reconnu comme crime communiste contre l’humanité, le
désastreux « grand bon en avant », le génocide perpétré par les
khmers rouges... Tout cela c’est la copie du Stalinisme, c’est du pur
communisme ! +
ici
Robert Mugabe ? Un criminel marxiste!
Les « amis » au plus
dangereux membre criminel de l’internationale socialiste Robert Mugabe étaient
tous là. Le « bon » camarade Robertun des
derniers bons copains du travailleur volontaire en Allemagne nazie Georges
Marchais, de Mitterrand le décoré de la Francisque du Maréchal Pétain et de son
épouse Danielle, encore au pouvoir en Afrique, Robert Mugabe, un
« marxiste-léniniste-maoïste » président de l’ex Rhodésie
devenu le Zimbabwe, tyran assassin, dictateur rouge sanguinaire qui avec un
régime raciste et communiste à précipité dans la ruine et la violence raciste
marxiste un pays qui était un des plus prospère d’Afrique.
L’Internationale socialiste de
continuer à soutenir Mugabe avec les fameux « progressistes » de
gauche ! Après avoir soutenu Lénine et Staline, normal de continuer à soutenir
des « amis » des « peuples » !Depuis qu’il a viré les blancs en les massacrants sauvagement, le pays
a plongé dans la misère la plus noire (sans jeu de mots) et l’espérance de vie
a chuté à… 37 ans.
Robert Mugabe= Adolphe Hitler
Le beau régime
« marxiste » de Robert est pourtant pointé du doigt par la
collectivité internationale et par des organisations telles qu' Amnesty
International, (Et là, il faut en faire pour que ces « gens » là,
bougent leur gros cul de marxistes culturels) pour « atteintes
massives » aux droits de l'homme, à la liberté d'opinion et à la liberté
de la presse. J’aime bien les citations, alors je ne résiste pas à vous en
donner une bonne du « camarade » Robert : En mars 2003, il
déclarait « Hitler avait un seul objectif : la justice pour son
peuple, la souveraineté pour son peuple, la reconnaissance de l'indépendance de
son peuple et ses droits sur ses ressources. Si cela c'est Hitler, laissez-moi
être le décuple de Hitler (If that is Hitler, then let me be a Hitler tenfold.
That is what we stand for.). Quand je vous dis que l’amitié entre les
« peuples » c’est beau comme Mein Kampf ! (Bonjour à mes
« amis » du MRAP !).
L'Afrique vivaient bien mieux
du temps des colonies tout comme l’Afrique ru Sud au temps de la séparation.
Car, sous couvert d'indépendance, des leaders socialistes et/ou marxistes, ont
fomenté des guerres civiles pour leur propre clan, et tant pis si elles ont
causé la mort et la misère de millions d'Africains. Une fois au pouvoir, ils
ont accaparés la majeure partie du revenu national et de l'aide internationale,
engraissé une cour, une armée et une police à leur unique service, et tant pis
pour les autres … à qui on faisait croire que l’idéologie mortifère communiste véritable
sida mental essaye encore désespérément de faire croire que c'était la faute
aux impérialistes, aux colonialistes s'ils vivaient dans la misère.
Revenons à nos tristes «hommageux ». Le
président américain sans doute le meilleur lecteur de discours sur
téléprompteur que compte notre époque est applaudi par la foule à son arrivée
sur l'estrade ; il y a salué le « dernier grand leader du
XXe siècle ». Leader ? Non mais on rêve là ! Ce type était
un immonde terroriste marxiste criminel et haineux éructant le chant de haine « Tuez
les blancs » à longueur de discours !
« C'est difficile de faire l'éloge de
n'importe quel homme [...] mais c'est encore plus difficile pour un géant de
l'histoire qui a mené une nation vers la justice », a dit le sinistre président
dans un discours mensonger, le camarade Mandela comme tous les
communistes avant lui et après lui a mené et mèneront toujours l’Afrique du sud
vers la ruine, le racisme antiblanc et la haine socialiste.
« L'Afrique du Sud nous
montre que l'on peut changer. »
a ajouté Obama.
Dommage que ce « changement » soit un échec sanglant.
Et puis cerise sur le gâteau de la haine
rouge, Barack Obama a commis une faute politique extrême, qui ne sera, bien
sûr, pas relevée dans les médias marxistes culturels: il a serré la main
du communiste cubain Raul Castro, en se courbant respectueusement, et devant
l’objectif des photographes. Cela fait une série de photos que le régime cubain
va s’empresser d’exploiter à ses propres fins. Cela constitue non seulement une
reconnaissance de fait du régime marxiste cubain, mais une reconnaissance
déférente vis-à-vis de ce régime. Depuis plus de cinquante ans, c’est le genre
de geste et de photo que veut le régime communiste de Cuba. Et ce que voulait ce
régime dictatorial et criminel communiste a été fait. Ce geste d’une grande
stupidité est allé droit au cœur de tous les Cubains vivant en exil.
Communisme ? La haine raciste !
Il est allé droit au cœur, de la famille
d’Alan Gross, un travailleur humanitaire américain âgé aujourd’hui de soixante
quatre ans, emprisonné à Cuba depuis 2009 pour, c’est ce que disent les « autorités »
communistes cubaines, avoir voulu aider la communauté juive vivant encore sur
l’île. Obama a été poli et courtois avec celui qui garde Alan Gross dans une
geôle, et quelle geôle ! Depuis son incarcération, Alan Gross a perdu
cinquante kilos, et il est aussi squelettique qu’un homme sortant d’un camp de
rééducation maoïste au temps de la Révolution culturelle. La famille d’Alan
Gross a demandé à Barack Obama d’intervenir en faveur d’Alan Gross, Barack
Obama ne l’a pas fait. L’occupant de la Maison Blanche est
décidément plus que sordide. Mais qui trouve encore cela surprenant ? « L'Afrique
du Sud a perdu un père. Le monde (Le monde ? Quel monde ? Celui
de l’internationale Socialiste ?) a perdu un ami cher et un
mentor », a déclaré sans honte ni vergogne pour sa part le secrétaire
général de l'ONU le sud-coréen, Ban Ki-moon à la solde des Etats Unis. « Ce plus grand de tous les baobabs ( ?)
a planté des racines qui ont poussé partout sur la planète, a-t-il poursuivi.
Nelson Mandela nous a montré la voie avec un coeur plus grand que ce stade et
un sourire contagieux qui aurait pu en allumer les lumières. En fait, il a
éclairé le monde. » Il aurait pu poursuivre par un monde de haine de
l’autre, de haine des blancs,de haine marxiste, l’échec monstrueux du
« vivre ensemble » de la société « multiethnique » ne semble
pas affecter ce guignol aux mains des ricains.
Hollande était là lui aussi.
Peu avant, le président sud-africain le
Zoulou communiste Gedleyihlekisa Zuma, (Gedleilékisa Zuma
avait rejoint le Parti communiste sud-africain (SACP) en 1963) a été hué
à plusieurs reprises par la foule, alors que l'ancien président Thabo
Mbeki, écarté du pouvoir en 2008, a été applaudi. Voyons un peu le cas du « hué ».
Le 2 juin 2005, après un procès de sept mois, l’ homme d'affaires (
Zuma sait à peine lire et écrire) du Zoulou Zuma, est condamné à quinze ans de
prison ferme pour avoir versé près de 160 000 euros
au vice-président Jacob Zuma entre 1995 et 2001 dans le cadre d'un trafic
d'influence et notamment pour avoir négocié un pot-de-vin entre Zuma et le
fabriquant d'armes Thint, filiale sud-africaine du groupe français
d'électronique de défense Thomson CSF devenu Thales, prévoyant un versement
annuel de 500 000 rands (60 530 euros) au vice-président. Le juge a ainsi
qualifié la relation entre Shaik et Zuma de « globalement
corrompue ».On commence à comprendre mieux ce que vont faire Hollande et
Sarkozy les joyeux duettistes de la magouille ; un slogan
intéressant : « Avec l’UMPS les rois de la magouille ; on s’en
met plein les fouilles ! ». Accusé
de viol, racket, blanchiment d'argent,
de corruption et de fraude, le zoulou polygame et homophobe est toujours
au pouvoir comme un bon dirigeant communiste. Cette ordure marxiste dirige le
génocide des blancs en Afrique du Sud et exploite la majorité noire, dont une partie importante reste
en dessous du seuil de pauvreté, sans accès à l’eau potable, à un logement décent,
ou aux anti rétroviraux pour les séropositifs.
Le zoulou Zuma en baskets.
Quoique il en soit, le Zoulou communiste
et homophobe Zuma en vertu des « enseignements du Seigneur », considère
de plus l’union civile des homosexuels comme un « déshonneur ».
Le 24 Septembre 2006 à Stanger, il a déclaré
que le mariage homosexuel était « une honte pour la nation et pour Dieu»:«Quand j'étais jeune, un ungqingili (Insulte vulgaire en « langue »
zouloue envers les personnes homosexuelles masculines équivalente en français à
gros pédé ou enculé) n'aurait pas tenu devant moi. Je l'aurai
assommé. » Il s’habille parfois en peaux de léopard et se déclare
favorable au test de virginité des jeunes filles, respectant les coutumes les
plus sexistes de son ethnie. Il pratique bien évidemment la polygamie. Zuma a été « marié » six fois ; en 2012, le Daily Telegraph a estimé que
Zuma avait 20 enfants. En Juin 2012, des militants communistes, dont certains
de l'ANC, se sont plaints que l'Etat a versé 1,2 M £ pour «pension
alimentaire»aux femmes de Zuma, dans le contexte de sous développement et
de pauvreté généralisée du pays il est un peu normal qu’il soit sifflé en 2013.
L’Afrique du sud est membre de
l’internationale SOCIALISTE, l’association internationale de maffieux corrompus,
racistes, etc. etc. leur XXIV Congrès c’était d’ailleurs réuni au Cap en
Afrique du Sud, du 30 août au 1 septembre 2012. Madame Ségolène Royal, Vice présidente
de l’IS (PS, France) la première femme de F. Hollande était là. Lisez ce texte
pour savoir à quelle « sauce » ces malfaiteurs veulent nous manger.Lire ici. Quand à l’ex président Thabo Mbeki, écarté
du pouvoir en 2008, qui a été très applaudi, il ne lui manque rien dans la
haine socialiste des blancs et des autres ethnies de l’Afrique du Sud.
Thabo est né en1942 dans
la province du Cap. Ses parents étaient « enseignants » mais surtout,
membres du Congrès national africain (ANC) et du parti communiste sud-africain
(SACP) Son père Govan Mbeki, ancien dirigeant communiste était l’un
des plus proches compagnons de prison du camarade Rolilala (Tsouin Tsouin),
Thabo Mbeki a été formé pour diriger, d’aucun le dise « aristocrate »
de la révolution. Sa langue maternelle est le xhosa comme Rolilala Mandela. Son
enfance est bien sur imprégnée de références à Karl Marx
Diplômé d’une université
britannique il fut aussi un camarade « cadre » dirigeant de l’ANC en
exil, au côté de son mentor Oliver Tambo. Mbeki, sera aussi bien sur formé
pendant 3 ans à Moscou où il suit l'école du parti communiste (Dite école du
crime) et une formation militaire à l'institut Lénine de Moscou.
En Chine, à Cuba, en Corée du Nord, au Zimbabwe, au Viet Nam le communisme tue encore tous les jours.
Le « technocrate »
révolutionnaire qui devait gérer l’après transition et faire de l’Afrique du
Sud un pays moderne, plus juste et capable de favoriser une
« renaissance » africaine est comme tous les communistes marxistes
mis en face des réalités. A l’arrivée, le compte n’y est pas.Il avait aussi
ruiné sa réputation dans la crise au Zimbabwe Voir
ici. Un marxisme très personnel l’a
progressivement isolé de son peuple, des blancs et des autres ethnies. Parmi
les zones d’ombre considérables de ses deux mandats, il y a sa gestion
catastrophiques de la crise du sida, dans l’un des pays les plus touchés au
monde, avec sa contestation farfelue des données scientifiques, et son refus de
distribuer des antirétroviraux, condamnant des dizaines de milliers de
personnes à une mort rapide. Les polémiques financières se sont
invitées en France dans le cadre de cet hommage, notamment sur le coût du
déplacement de François Hollande et de Nicolas Sarkozy (en tant qu’ancien
président) en Afrique du Sud. Une facture salée dont a pris prétexte le
Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, pour ne pas se rendre aux
funérailles de Nelson Mandela. En fait je crois que Benyamin
Netanyahu ne souhaitait pas rendre hommage à un Mandela qui soutint
de longue date les revendications des Palestiniens et critiqua vivement
la « politique d’apartheid » que mènerait Israël à leur
égard. Si ce souci d’économie cache donc d’autres
motivations, notons qu’en France même, la « classe »
politicienne sait être généreuse avec les défenseurs de la démocratie et du
pluralisme. Déjà financé dans le passé par le super capitaliste
Lagardère, l’amendement 410, du 03 décembre 2013 de l’Assemblée nationale nous
apprend ainsi que le quotidien communiste pourri L’Humanité sera
une nouvelle fois renfloué avec l’argent des contribuables. (Article de votre
serviteur à venir ) L’Huma, le quotidien sans lecteurs déjà le plus
subventionné, ne disparaîtra pas, car est-il indiqué dans cet amendement,
« les créances détenues sur la Société nouvelle du journal L’Humanité
au titre du prêt accordé le 28 mars 2002, réaménagé en 2009 et imputé sur le
compte de prêts du Trésor n° 903‑05, sont abandonnées à hauteur de 4 086 710,31
euros en capital. Les intérêts contractuels courus et échus sont également
abandonnés» est-il écrit. Bref, au motif que les débiteurs
communistes ne peuvent plus payer, l’état abandonnerait ses créances sur le
journal… comme c’est pratique ! Cette justification ne manquera pas
d’interpeller nos compatriotes, les entrepreneurs, commerçants, artisans
qui croulent sous les charges et les impôts et n’ont jamais
droit à aucune mansuétude… Une étude de l’Institut Coppet rappelle
qu’à la fin de l’Ancien Régime, les Français travaillaient 18 jours par an pour
financer les dépenses de l’État, alors qu’aujourd’hui, un salarié
travaille du 1er janvier au 26 juillet pour l’État. La formule
désignant naguère le calamiteux système communiste constate Bruno
Gollnisch, s’applique de plus en plus à notre Etat
socialo-européiste confiscatoire: « passe moi ta montre je te donnerai
l’heure ».
L’historien Nicolas Delalande (auteur du
livre Les Batailles de l’impôt) rappelait récemment qu’autour de 1900,
le taux d’imposition représentait environ 10 % de la richesse nationale,
aujourd’hui, « le niveau des prélèvements se maintient entre 42 % et 46 % du
PIB ». Or, souligne t-il, le consentement à
l’impôt vient d’un pacte entre le citoyen contribuable et l’Etat pour que
celui-ci assure trois fonctions régaliennes fondamentales, indispensables:
l’État protège l’intégrité du territoire protégé par des frontières ;
l’État bat monnaie (garantissant l’indépendance de la nation), l’État
rend la justice (impartiale, au nom et dans l’intérêt du peuple
français).Pourtant, aujourd’hui, «l’État a ouvert les frontières, l’État ne bat
plus monnaie, et l’État rend une justice politique servant des lobbies et/ou
des idéologies contre le peuple».
Communisme = Nazisme !
Voilà la conséquence directe de la
soumission de notre classe politicienne au marxisme culturel ou à l’idéologie euro
mondialiste comme l’affirme Bruno Gollnisch. Français qui ne fêteront pas
demain constate-t-il encore, le vingtième anniversaire (11 décembre 1993)
de l’adoption par les douze pays alors membres de l’UE du Livre
Blanc de Jacques Delors, qui devait relancer la croissance et lutter
contre le chômage en Europe. Nous en voyons les résultats dans notre
pays : plus de trois millions de chômeurs, huit millions de pauvres,
nos industries détruites sur l’autel du marxisme culturel, de la mondialisation
et de l’ultra libre échangisme sans frontières ni protections, une
croissance en berne, une balance commerciale durablement plombée,
2 000 milliards d’euros de dettes publiques… Face aux mensonges, à l’autisme de
l’UMPS, à l’incapacité des partis euro mondialistes à changer de logiciel, le
FN représente une alternative sérieuse dont les Français doivent se
saisir dés 2014. Il est encore temps.
Michel Alain Labet de Bornay.
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La mort de Nelson Mandela déclenche une
prévisible hystérie médiatico-politique.
Pour les prochains jours : déluge d’émotion feinte, concert unanime de louanges
chez tous les politiciens abrutiles et slogans idiots en vue. Il faut rappeler, à propos de Mandela,
qu’il fut des années durant un chef terroriste d’extrême gauche (chef du UmKhonto we Sizwe, l’aile terroriste de
l’ANC et du Parti communiste sud-africain). Rappelons que le 1er janvier 1985, le
président sud-africain Botha s’exprimant au parlement, a proposé à Mandela
d’être libéré (il était emprisonné pour terrorisme criminel), s’il rejetait «
inconditionnellement le recours à la violence comme arme politique ». Mandela
rejeta cette offre, refusant d’abandonner les meurtres racistes. Il a contribué à faire de la prospère
Afrique du Sud un enfer pour les Blancs, et pour beaucoup de Noirs.
Un des derniers « Dieu » communiste est
mort. Le créateur de la terre et du ciel socialiste s’en est allé. Les médias
marxistes culturels et la classe politique collectiviste de tout partout dans
le Monde sont en émoi. Normal, ce « Dieu » là avait la peau couleur
d’ébène, et incarnait à leurs yeux les valeurs du melting-pot souriant. Sauf
que Mandela était un marxiste révolutionnaire qui a cru à une idéologie
mortifère.
En France à lire les commentaires de la gauche on a
l’impression que ce n’était qu’un noir. Un noir gentil, souriant et dansant,
avec un cœur tendre. Le déballage de mièvrerie et d’emphase auquel nous
assistons est pathétique. Cette folie médiatique souligne que nous avons
atteint un niveau extrême du marxisme culturel ambiant. C’est à la fois comique
et profondément désespérant. Que le président socialiste Hollande ait décidé de
mettre en berne les drapeaux de la Nation est caractéristique: ce type est
devenu dingue et ne mérite plus d’être appelé président.
Winnie Mandela, Nelson Mandela et Joe Slovo sous l’emblème
de la haine communiste.
Nelson (Prénom anglais donné par son
institutrice) de son prénom de naissance donné par sa mère: Rolihlahla (Rolilala (phonétique) signifie « celui qui crée
les problèmes » en langue non écrite Xhosa"Langue"
Bantoue" pour avoir reçu un « prénom » pareil ses parents
devaient être « sorciers » avec un don de double vue, car le Ben
Laden d’Afrique du Sud en a créé des « problèmes »).
Le K-mot est donc
mort le 5 décembre 2013 à Johannesburg. Le faux « non
violent » Mandela serait issu d'une famille « royale » Thembu
de l'ethnie Xhosa qui règne sur une partie du Transkei et dont le nom du clan « tribal »
est « Madiba », il était né vers 1918à Mvezo (Union
d'Afrique du Sud), c’était un des derniers dirigeant du monde à avoir tenu une
politique marxiste pour son pays et à
avoir mené celui-ci à la ruine et au désespoir. Resté très
« primaire » il reconnaissait l’autorité de son « souverain traditionnel » le
« roi » Buyelekhaya Zwelibanzi Dalindyebo (Quel joli nom !), comme
nous avons pu le voir lorsqu’il c’était remarié le jour de ses 80 ans, en 1998,
avec une « jeunette » de 53 ans, Graça Machel, née Simbine, veuve de Samora
Machel, ancien président du Mozambique président du mouvement marxiste Front
de Libération Du Mozambique membre lui aussi comme Robert Mugabe de
l’Internationale Socialiste (+
sur Robert) et allié de l'ANC qui avait été tué dans un accident aérien
douze ans auparavant. Le mariage avait suivi des mois de négociations internationales
(Bigre !) pour établir le montant du prix exceptionnel (le n’golo n’golo
dans la case, coûte cher chez les sauvages) qui devait être remis au clan de
Machel. Les négociations avaient été conduites par le « roi »
Buyelekhaya machin truc Banania.
Ouvrons une petite parenthèse pour parler
des premières « femmes » de Mandela. La toute premièreEvelyn Ntoko Mase (mai
1922-Avril 2004) était une « infirmière » qui a été mariée à
Rolilala de 1944 à 1958.Elle était la mère de
quatre de ses enfants.Les deux fils de Rolilala
Thembekile (1945-1969) et Makgatho Mandela (1950-2005), et deux filles du nom
de Makaziwe Mandela (la première né en 1947 est morte à l'âge de neuf mois, et
la seconde née en 1954).Évitant la politique,
elle se convertit comme Témoin de Jéhovah.Accusant
justement Rolilala d'adultère,( Un des rares cas de divorce chez les témoins
qui n’ont pas vu l’accident) ils ont divorcé en 1958, année ou il a épousé
Winnie Madikizela qui deviendra une
criminelle encombrante.
Officiellement, Rolilala et Winnie ont été
mariés de 1958 à 1996. Mais le temps de faire deux petites filles, Zenani et
Zindzi, le papa était arrêté en août 1962 pour n’être libéré qu’en février 1990.
Winnie fut très présente pendant le procès
où elle emmenait les fillettes. Puis elle fut éloignée de Johannesburg et du
Cap et assignée à résidence dans la ville de Brandfort. Après quinze ans, en
1979, elle fut autorisée à rendre visite à son mari, dans sa prison de Robben
Island, une fois tous les six mois.
Lors des nouvelles flambées de violence
terroriste marxistes, au début des années 80, Winnie devint un personnage
public. Mais il apparut que son discours était loin d’être celui de son mari.
Autant Mandela prêchait une certaine modération et tolérance de façade, autant Winnie
versait dans le marxisme réel et haineux raciste. "Un fermier blanc, une
balle !", lançait-elle. Ou, dans un discours datant du 13 avril 1985 :
"Avec des boîtes d’allumettes et des pneus enflammés, nous libérerons le
pays." Le même jour, elle réclamait le supplice du pneu enflammé autour du
cou pour les traîtres noirs.
Racisme et antisémitisme c’est cela le socialisme.
En janvier 1989, un activiste de l’ANC,
âgé seulement de 14 ans, fut battu à mort. La police identifia le meurtrier :
le garde du corps de Winnie, qui s’avéra avoir été aussi son amant. L’homme
accusa Madame Mandela : "C’est elle qui m’a ordonné de tuer le
gamin." Elle fut accusée d’avoir été la
commanditaire de l'assassinat du docteur Asvat et responsable de la disparition
de plusieurs autres enfants. En février 1990, Winnie apparaissait au
bras de son mari lors de sa sortie de prison. Il fut à ses côtés lors de son
procès où elle fut reconnue coupable de kidnapping et complicité de meurtre,
mais condamnée, en appel, à une simple amende. On put à juste titre estimer que la fameuse
« raison d'Etat » avait
prévalu sur la justice. Le documentaire de la BBC que diffusera « La 25e heure
» en est une terrible démonstration. Cette enquête minutieuse apportait non
seulement de nouveaux éléments sur les agissements crapuleux de Winnie Mandela,
mais aussi un témoignage accablant pour le pouvoir en place. Celui de Katiza
Cebekhulu, ancien membre du Mandela United Football Club (les hommes de main de
Winnie), « témoin manquant » au moment du procès, parce que exilé de force en
Zambie. L'ancien président de la Zambie, le docteur Kenneth Kaunda, certifie
que c'est Nelson Mandela lui-même qui lui demanda de recevoir Katiza !
Retrouvé par les journalistes de la BBC,
le jeune homme relate les faits terrifiants dont il fut le témoin ou même le
complice. Comment, pour abattre le révérend Paul Verryn - un homme que Winnie
jalousait pour l'estime que lui apportait son combat anti-apartheid -, elle
l'accusa de s'être livré à des violences sexuelles sur des garçons. Comment le
petit Stompie, soupçonné d'être un indicateur de police, fut roué de coups dans
la cave de Winnie. Et, quelques nuits plus tard, poignardé de la main même de «
la mère de la nation ». L'assassinat du docteur Asvat (qui avait constaté les
marques de torture sur le corps de Stompie) fut probablement commandité par la
même Winnie. Katiza Cebekhulu, tombé en disgrâce pour avoir découvert des
photos de Winnie et de son amant, fut aspergé d'eau bouillante, eut les dents
fracassées avant d'être exilé en Zambie.
En 1991, les témoins firent défaut lors du
procès de « la pasionaria marxiste des townships ». Il a fallu l'intervention
de Mgr Desmond Tutu pour qu'elle sorte indemne, en décembre, de sa comparution
devant la commission Vérité et réconciliation. Pour la mère de Lolo Sono, «
disparu » après qu'on l'eut vu dans la voiture de sa « patronne », Winnie
Mandela est devenue « la tueuse de la nation ». Winnie était devenue vraiment une épouse
encombrante. En avril 1992, son mari la quittait. Le divorce fut prononcé en mars
1996. Entre-temps, Mandela fit quand même de cette raciste criminelle la
vice-ministre de la Culture et des Sciences de son gouvernement marxiste. Mais
après onze mois, Winnie, suspectée de corruption, fut contrainte de
démissionner.
La très raciste anti blancs communiste
Winnie redevenue Madikizela fut aussi, de 1993 à 1997, la présidente de la
Ligue des femmes de l’ANC. En 2003, elle a été condamnée à quatre ans
de prison, après avoir été reconnue coupable, avec son frère Addy Moolman, de
25 vols et 43 fraudes. Depuis qu’elle est sortie de prison, elle ne cesse de
hurler que son ex-mari n’a fait que laisser tomber les Noirs. La preuve, selon
elle, c’est que la magnifique statue de Nelson Mandela a été inaugurée dans le
quartier blanc le plus riche de Johannesburg. Selon Winnie, il aurait dû trôner
au centre du township symbolique de Soweto.
Vous
allez voir amis patriotes, comme on va « bouffer » du Mandela non stop pendant toute la semaine
prochaine (ça va pleurer dans les
chaumières rouges) un si « grand »
homme, ça tombe bien, ça va servir l’exécutif socialiste obnubilé par la prétendue
montée du « racisme » et de l’extrême droite fantasmée. Les médias
marxistes culturels vont mener la « danse » pour faire oublier la
situation économique catastrophique de la France la montée du racisme anti
blanc, de l’antisémitisme et son engagement militaire comme d’habitude contre
des musulmans fouteurs de merde en centre Afrique !
D’ailleurs ça commence déjà : Au ministère de
l’Education ( ?) nationale marxiste culturelle on publie un communiqué de
presse en forme de propagande pour le fameux vivre ensemble. Comme si l’Afrique
du Sud post Rolilala était un îlot de paix où toutes les communautés
s’embrassent sur la bouche. Sont-ils au courant que le rêve de Mandela est un
échec sur toute la ligne ? Je le pense, mais ces gens marxistes culturels
abrutiles sont des menteurs, des désinformateurs de profession.
L’Afrique du
Sud est aujourd’hui l’un des endroits les plus violents et criminels au monde,
où le vivre ensemble si cher aux marxistes culturels de « goâche » y
est le plus meurtrier. La Nation Arc en ciel n’existe pas, et la vie pour les
blancs comme pour les différentes ethnies qui composent la population noire y
est plus qu’épouvantable, c’est le fabuleux héritage d’un marxisme pestilentiel.
La honte pour l'éducation nationale !
Sans
compter que parmi les abrutis illuminés du marxisme trotskiste des plus
nauséabond et de la valorisation des déchets figure en bonne place Jean-Luc
Mélenchon.
Le petit père sans peuple qui ne rate aucune occasion de la fermer a déclaré :
« Aujourd’hui
en France, des enfants mal élevés lui jetteraient des bananes. »
On
s’incline face devant tant de hauteur de vue.
Mais
le pompon du crétinisme est sans aucun doute atteint par nos nidoreuses associations
subventionnées de « l’antiracisme » professionnel.
Le MRAP présente à : « toute
la population d’Afrique du Sud, ses condoléances les plus émues ». Les familles,
amis, de plus de 4000 fermiers blancs qui ont été assassinés par les émules
racistes de Mandela, leur famille violée, parfois dépecée vivante depuis 1994
apprécieront !
Depuis cette
date ce sont plus généralement quelque 75 000 Blancs qui ont été tués par des
Noirs, dans un génocide
initié par le président Mandela et son parti marxiste l’ANC, toujours au
pouvoir.
Des dizaines de
milliers de Blancs se sont vu voler leurs biens par des hordes noires armées de
machettes, après la victoire de Mandela, et vivent maintenant dans des
conditions de grande misère, dans des bidonvilles, souffrant de la faim.
La haine des blancs en action dans l' Afrique du sud marxiste de Mandela.
Ci-dessous une vidéo de David Duke sur le
génocide des Blancs, en particulier des Boers, en Afrique du Sud :
Quand
à l’association socialiste marxiste culturelle SOS Racisme elle appelait
vendredi dernier à un rassemblement à 18h devant l’ambassade d’Afrique du Sud à
Paris et le Cran, l’association racialiste faite que pour les noirs avait fixé
Samedi à 13h, le rassemblement de K-mots devant l’église
Saint-bernard, dans la capitale.
Et
l’UEJF (Union des étudiants « juifs » de France, mais surtout
composée de juifs abrutiles marxistes culturels internationalistes) a salué «
la mémoire d’une grande figure de la lutte antiraciste ». « Nelson Mandela
restera à jamais un modèle pour tous les militants antiracistes », a estimé
Jonathan Hayoun, président de l’organisation marxiste culturelle UEJF.
Jonathan Hayoun, qui
devrait bien lire l’article de Shalom magazine ICI datant de
1994, et ICI
celui de 1996 sans oublier l’article deDanièle Kriegel dans le Pointd’Août
2012 ICIou le numéro deux du ministère des affaires
étrangères d’Israël, Danny Ayalon, nous dit : « Malheureusement,
il apparaît que l'Afrique du Sud reste un pays d'apartheid. Un apartheid dirigé
aujourd'hui contre Israël et aussi contre ses propres mineurs grévistes. »
Je lui conseille aussi de
lire sur terre promise.net
un article qui dans son titre donne bien l’opinion d’une majorité de
juifs : « MANDELA : un des plus grand antisémite et anti israélien
de notre époque. »
Nonobstant bien que cela
ne retire rien au fait que Mandela était une crapule antisémite, je dois
rendre César ce qui est à César !
Ce texte est un faux comme le protocole de sages de Sion, il est la traduction française d’une lettre adressée
au journaliste du « New York Times » Thomas Friedman. Il dénonce la
politique de l’État d’Israël comme une politique raciste, une politique
d’apartheid, et il exige le droit au retour des réfugiés palestiniens. Sur
Internet, ce texte avait provoqué des réactions enthousiastes dans les milieux
pro palestiniens ce qui était bien entendu le but recherché.
En fait, il s’agit là d’une
vieille histoire. Le 30 mars 2001, un journaliste palestinien vivant aux
Pays-Bas publie cette prétendue « lettre de Mandela » sur le forum
Internet de Thomas Friedman. Le journaliste, nommé Arjan El Fassed, ne prétend
pas que la lettre soit authentique. Bien au contraire. El Fassed a recours à un
genre littéraire pratiqué par Friedman, celui de la fausse lettre.
Mais le document circule sur
Internet et, de fil en aiguille, on oublie son origine et des gens croient que
c’est vraiment Mandela qui s’exprime. La lettre est publiée dans le quotidien
palestinien « Al-Kuds », et le directeur d’« Al-Kuds » la
transmet à ses collègues israéliens de « Haaretz », pour qu’ils la
publient eux aussi. Les journalistes de « Haaretz » font leur
métier : ils téléphonent en Afrique du Sud pour vérifier, et ils
découvrent le pot aux roses.
« Haaretz » publie
tout cela, l’auteur du texte s’explique, et tout rentre dans l’ordre. C’était
en septembre 2002.
Six ans plus tard, en août 2008,
une militante antisémite française nommée Mireille Rumeau découvre le texte
anglais de la prétendue lettre de Mandela. Elle en fait une traduction
française, aussitôt publiée sur le site antisémite d’ultra gauche Euro
Palestine et reprise un peu partout dans la galaxie Internet par des gens qui
croient détenir un document authentique. Et c’est reparti pour un tour.
Au XIXe siècle, aux Etats-Unis,
un homme qui exhibait des attractions dans des foires avait déclaré :
« Un nouveau gogo naît à chaque minute ». Dans le monde de la
propagande, aujourd’hui, il en va de même. À chaque minute naît une nouvelle
fable antisioniste, et on ne compte plus les gogos qui s’y laissent prendre.
La vidéo ci-dessous qui confirme bien
l’antisémitisme de Mandela.
Le petit Hayoun me fait
penser à Yossel Mashel Slovo dit Joe Slovo né en 1926 à Obelai en Lituanie, émigré
à 8 ans en Afrique du Sud avec sa famille de colons et mort en 1995 à
Johannesburg, ancien apparatchik du Parti communiste sud-africain (South
African Communist Party, SACP), et membre du Congrès national africain (African
National Congress, ANC).
Bien que sa famille soit religieuse, il
est athée, tout en disant respecter "les aspects positifs de la culture
juive" ( ?). Nous verrons plus loin ce que cet « homme »
appelait les aspects positifs de cette « culture ». Slovo quitta l’école
à l'âge de 15 ans en 1941 et trouve du travail comme
commis d’expédition. Joe, en tant que délégué syndical, aurait été impliqué
dans l'organisation d'une grève, il adhéra ensuite au Parti communiste
sud-africain en 1942.
Il a poursuivi ensuite (parallèlement) des
études de droit à l'Université de Witsdurant lesquelles
il s’est retrouvé condisciple de Rolilala Mandela et de Harry Schwarz, ICI. Il épousera en 1949
une activiste communiste, Ruth First,
qui se trouve être la fille du trésorier du parti, Julius First. Les parents
First, juifs originaires de Lettonie, avaient émigré en 1906 en tant que
colonisateurs, membres fondateurs du Parti communiste d'Afrique du Sud (AFPC)
ils avaient activement contribué à la création du SACP. Le couple a eu
trois filles, Shawn, Gillian et Robyn. La première a été tuée en 1982 sur dit-on
un ordre de Craig Williamson, un major dans la police de sécurité sud Africaine. Williamson aurait aussi ordonné
l’élimination de la femme de Joe l’activiste marxiste Ruth First, qui, en fuite
au Mozambique sera tuée par une lettre piégée à Maputo en 1982.
La famille de colons de Slovo était à
l’époque exilée car elle avait été répertoriée comme
communiste en vertu de la Loi sur la répression du communisme et ne pouvaient
pas être cités ou assister à des réunions publiques en Afrique du Sud. « En
exil, les liens entre l'ANC et le SACP se renforcèrent d'autant plus que les
pays du bloc de l'Est étaient les principaux fournisseurs d'armes de l'ANC et
finançaient l'entraînement des recrues pour la guérilla. Joe Slovo et son
épouse Ruth First se chargeaient pendant ce temps de la propagande notamment
basée sur l'idéologie du combat révolutionnaire dans lequel l'ANC s'était
engagé », nous dit Wikipédia.
Je vous passe le détail des années
tumultueuses depuis la fin de la guerre jusqu’à l’arrivée (enfin) au
pouvoir : terrorisme activisme, arrestations, séjours à l’étranger, etc.
Slovo se retrouve secrétaire général du parti en 1984, fonction qu’il assumera
jusqu’en 1991. Il participera ensuite aux négociations entre le gouvernement et
l’ANC, allié aux communistes. La triple alliance forgée dans le combat contre
l'apartheid entre l'ANC, le parti communiste et la centrale syndicale COSATU se
maintiendra après la victoire électorale de l'ANC aux élections du 27 avril
1994. Joe Slovo entrera dans le premier gouvernement formé par Mandela bien que
la rupture avec le capitalisme et l'économie de marché, prônés par le SACP, ait
été partiellement abandonnée par l'ANC. Il mourra l’année suivante, en 1995.
Mandela et Slovo deux grands criminels marxistes.
Ce marxiste pur sucre était aussi
parfaitement « antisioniste » et il écrira les lignes suivantes dans
son autobiographie restée inachevée, à propos d’une visite d’un kibboutz qu’il
avait faite en Palestine après la guerre : "Within a few years the wars of consolidation and
expansion began. Ironically enough, the horrors of the Holocaust became the
rationalization for the preparation by Zionists of acts of genocide against the
indigenous people of Palestine. Those of us who, in the years that were to
follow, raised our voices publicly against the violent apartheid of the Israeli
state were vilified by the Zionist press. It is ironic, too, that the
Jew-haters in South Africa – those who worked and prayed for a Hitler
victory – have been linked in close embrace with the rulers of Israel in a
new axis based on racism."
Ma traduction: «Depuis quelques années, les guerres de
consolidation et d'expansion ont commencées. Ironie du sort, les horreurs de
l'Holocauste (Qu’il n’a pas
connues) sont devenues le prétexte à la réalisation par les sionistes
d'actes de génocide contre le peuple indigène de Palestine. Ceux d'entre nous
qui, dans les années qui vont suivre, vont élever la voix contre « l'apartheid »
publiquement violent de l'État d'Israël seront vilipendés par la presse
sioniste. Il est ironique, aussi, que les Juifs haineux d’Afrique du Sud - Ceux
qui ont travaillé et prié pour une victoire d'Hitler – (On en apprend des
choses avec « Joe » il y aurait donc des juifs qui auraient prié pour
la victoire d’Hitler ? Dommage qu’il ne donne pas les noms !) ont été liés dans l'étreinte étroite avec
les dirigeants d'Israël dans un nouvel axe fondé sur le racisme ( des
juifs racistes ? Sacré Joe; quel humour !) ».
Quant à Jonathan Hayoun, il devra bien un
jour nous dire ce qu’il pense de ses aspects positifs de la culture juive
version socialiste.
Hayoun, en bon petit professionnel du glapissement indigné et des
nauséabonds borborygmes, voudrait bien nous faire croire à un message de
fraternité universelle, qui n’est que la fraternité universelle de gens résolus
à subir et à faire subir éternellement un régime pénitentiaire au nom d’un
dogme politique « marxiste ». Hayoun et ses complices marxistes
culturels utilisent un sophisme, qu’il est indispensable de dénoncer sans
relâche : Puisque eux et, -disent-ils pour nous impressionner-, tous les
« démocrates » respecteraient, vénéreraient le socialisme comme étant une
déclinaison de la volonté universelle, le prohiber ce serait stigmatiser leur
croyance au grand soir, à la lutte finale et a eux-mêmes qui tout en étant
athées comme Slavo brandissent leur prétendue judaïté comme un saint sacrement et comme le marxiste Joe nous bassinant avec ce
qu’ils nomment les prétendus aspects positifs de la culture juive. Ce serait par
conséquent du racisme et non une lutte d’opinion…
En bon petit
marxiste culturel lobotomisé notre « ami » Jonathan qui
« écrit » dans les journaux sur la toile éructait le 25/11/2013ICI :
« Beaucoup condamnent le
racisme, peu sont prêts à l'identifier pour le combattre. Il devient donc
urgent de multiplier les espaces de transmission qui permettront d'identifier
le discours de haine, pour éviter que les paroles et les actes racistes et
antisémites se multiplient et que le FN continue à être normalisé. La campagne
à venir doit être une campagne des valeurs mais aussi une campagne faite de
pédagogie et de déconstruction des discours d'exclusion. L'antiracisme dont
être pris en compte dans les programmes politiques des partis politiques
républicains voulant faire barrage à l'extrême droite. ». On aura compris que pour Hayoun, le
« racisme identifié » serait symbolisé par le « Front National »
qui serait composé de « racistes », seulement voilà, encore une idée
fausse, typiquement marxiste culturelle. Une falsification venimeuse, un
mensonge éhonté ! Avec Internet la tromperie est depuis quelques années éventée et
commence à avoir une odeur très bizarre quelque peu « nauséabonde »
de faisandé. D’aucuns, des mauvaises langues sans doute, disent que çà sent le
gaz !).
Début 2011
j’avais commis un article sur le net ICI.
Article dont le titre : « A
cul foireux toujours merde abonde. »pourrait aller comme un gant a
la « personnalité du petitaxolotl Jonathan, fondateur de InProdWeTrust, diplômé en Master de
Communication Politique PAris XII (Bigre ! Une place lui est réservée au
futur ministère de la propagande
socialiste), diplômé en Master de Production audiovisuelle INA'Sup qui maîtrise
parfaitement, l'amnésie, le négationnisme, et surtout l'occultation, la
diversion et la falsification historique caractéristiques notoire du socialisme
d' hier, d'aujourd'hui et de demain Puis le 06
juillet 2006 j’écrivais ICI :
« Suite aux révélations consternantes des déclarations faites devant
une délégation du P.S Français dirigé par François Hollande et Pierre
Moscovici, on est en droit de se poser des questions. Alors premier secrétaire
du PS, François Hollande était reçu par Amar Saadani à l’époque président de
l’assemblée populaire nationale algérienne APN.
Selon un haut responsable du RCD à qui les socialistes français ont rapporté
les propos confirmés par la suite par un ex-responsable du FFS, lors de
l’entretien en présence de M Moscovici secrétaire national aux relations
internationales, Kader Arif et Bariza Khiari : le troisième homme fort de
l’Algérie fidèle à son antisémitisme primaire lâcha sans sourciller « au
PS il y a trop de juif il faut commencer à dés-enjuiver pour contrer leur lobby
». » Étonnant non ?
Cette annonce a
été passée sous silence et est restée sans effet majeur de la part du P.S qui,
jouant l’habituel et nauséabond « jeu » politicien socialiste des
atouts et du pouvoir, ne chercha pas à froisser ses interlocuteurs racistes et
antisémites Algériens au regard de « possibles » futurs partenariats si le PS
venait à prendre le pouvoir politique en France et en vue d’une «
internationale socialiste » solidaire.
Plus tard le jeudi 10 octobre 2013, j’écrivais au nom du
Collectif Tous Ensemble Contre le Nouvel Antisémitisme à monsieur le premier
secrétaire du Parti socialiste Jean-Philippe Désir.ICI
avec bien sur une copie à monsieur Jérome Guedj. Ni l’un ni l’autre de ces
responsables socialistes ne m’ont fait l’honneur d’une réponse. Je leur avait
écrit pour leur signaler que le Parti Socialiste Français soutenait par voie
d’affiche douze activistes antisémites de gauche aujourd’hui sévèrement
condamnés ( Voir
ici un article très complet sur les porteurs de haine antisémite.) on y
trouve entre autres racistes antisémites, l’antisémite raciste Aline
Parmentier, Secrétaire Départementale du Parti Communiste Français section
Alsace et accessoirement coiffeuse, l’antisémite Farida Trichine Sarr ( Cadre
EDF) de « Justice » pour la Palestine Alsace, Farida Trichine comme
par hasard est une ancienne militante du Parti Socialiste de Mulhouse.,
monsieur le professeur d’histoire Henri Eichholzer un antisémite récidiviste de
la haine des juifs,un activiste de l’AFPS (Association France Palestine
Solidarité 68), émanation directe du Parti Communiste dit Français
(L’antisémite gauchiste Eichholzer avait déjà été condamné à 4 ans de prison
par un tribunal de district de Tel-Aviv le 14 Mars 1984 pour avoir collaboré
avec le FPLP pour préparer un attentat terroriste contre la tour du
gouvernement à Tel Aviv, le FPLP est une organisation placée sur la liste
officielle des organisations terroristes antisémites), l’antisémite raciste Mohamed
Akbar ( Citoyen Afghan et « travailleur » social en France) de
l’Association REDA, (Association Réflexions, Échanges et Débats en Alsace, dite
aussi la « dynamique » présence musulmane) et l’antisémite
Jacques Ballouey d’Europe Écologie les Verts 68. Sur leur affiche puante de
haine antisémite ces gens affirmaient lutter pour la liberté d’expression (sic)
les propos antisémites sont à mon humble avis une conception de la liberté
d’expression digne du Docteur Goebbels ou du procureur Vychinski.
Ces faussaires
de l’Histoire dont Hayoun se fait complice, incarnent mieux que de longs
discours cette phrase de Winston Churchill : « Les fascistes de
demain s’appelleront eux-mêmes antifascistes », sans oublier celle de Léo
Ferré : « Le socialisme est l’antichambre du fascisme ». Et moi
j’affirme haut et fort que certains antiracistes d’aujourd’hui sont les
racistes de demain sinon d’aujourd’hui !
Allez, encore
une petite vidéo pour l’édification de monsieur Hayoun.
Mais revenons
donc à notre « agneau » Mandela un « non violent » d’opérette,
mais vrai marxiste terroriste qui entre au Congrès national africain
(ANC) en 1944, afin de « lutter » contre la domination de la minorité
blanche civilisée et la politique de développement séparé, appelée fort mal à
propos « apartheid « (mot afrikaans partiellement dérivé du
français, signifiant « séparation, mise à part »).
L'ANC est interdit en 1960, et la lutte « pacifique »
ne donnant pas de résultats tangibles, Mandela fonde et dirige la branche
terroriste et criminelle de l'ANC, Umkhonto we Sizwe, en 1961, qui mène
une campagne immonde et haineuse contre les blancs et contre des installations
publiques et militaires.ICI. À partir de 1983, de plus en plus de
blancs innocents sont les victimes d'attentats à la bombe perpétrées en pleine
rue par les activistes marxistes de MK alors qu'une campagne de terreur est
organisée contre les fermiers blancs dans les zones rurales du Transvaal.
Ses actions de « lutte » les
plus criminelles commanditées par le « grand homme » Mandela furent : L'attentat contre le complexe de
raffinement du groupe Sasol en 1980, La "tentative" de sabotage de la
centrale nucléaire de Koeberg près du Cap, en janvier 1982, L'attentat de Church street à Pretoria le
20 mai 1983 (19 personnes tuées, 217 blessés), Le 23 décembre 1985, le centre commercial
Salman situé à Amanzimtoti fut l'objet d'un attentat à la bombe sanglant,
perpétré par un « jeune » noir militant de l'ANC, Andrew Zondo (19
ans). L'attentat causa la mort de 5 personnes dont 3 enfants et fit plus de 40
blessés.Après l’odieux massacre
d'Amanzimtoti, des membres du Congrès américain soutenus par des membres de
l'administration de Ronald Reagan demandent que l'ANC et MK soit listées comme
étant des organisations terroristes. L'attentat à la voiture piégée le 14 juin
1986 à Durban devant le Magoo's Bar (3 tués, 69 blessés). L'attentat au tribunal de Johannesburg en
1987 (3 morts, 10 blessés) L'attentat contre la banque Standard de
Roodepoort en 1988 (6 personnes tuées, 18 blessés) L'ANC et MK ont également reconnu leur
responsabilité dans la mort d'une famille de touristes afrikaners près de
Messina en décembre 1985 dans le cadre d'une campagne qui fit 23 morts entre
1985 et 1987 dans les zones rurales du nord et de l'est du Transvaal. Les familles des ses victimes de la haine
communiste sont très touchées des condoléances présenté par le MRAP Français
mouvement marxiste qui distille de la haine des juifs. Et
c'est pas moi qui le dit.
En 1963, Mandela, notre chef terroriste
d’extrême gauche marxiste est arrêté par la police sud-africaine, puis est jugé
et justement condamné à la prison et aux travaux forcés à perpétuité. Dès lors,
il devient un « symbole » de la « lutte » pour l'égalité
raciale (Je croyais que les « races » n’existaient plus ?
M’aurait on menti ?).
Rolilala (Tsouin tsouin ?) bénéficie d'un
soutien international croissant.
Nettement plus tard, ce qui apparaît
incompréhensible en apparence, c’est le soutient affiché à la
« lutte » contre l’apartheid par le gouvernement américain qui avait
une approche visant à établir ou maintenir un dialogue constructif avec le
gouvernement sud-africain. Le gouvernement de Grande-Bretagne partageait la
même approche.
La haine communiste
Membre du bloc occidental, l'Afrique du
Sud était une pièce maîtresse dans le jeu de la guerre froide entre l'Ouest et
l'Est. Pays frontalier de dictatures marxistes, elle était une puissance
nucléaire et disposait en outre de ressources en métaux rares indispensables
pour les industries occidentales et avait maintenu de bonnes relations avec la
majeure partie des pays occidentaux, mais aussi avec d'autres états parias
comme Taïwan et Israël. Par ailleurs, le principal mouvement anti-apartheid, le
congrès national africain, était allié au parti communiste sud-africain,
disposait de camps d'entraînement en Allemagne de l'Est et affichait une
idéologie nettement marxiste et anti-capitaliste. C'est pour ces raisons et la
crainte de voir un gouvernement marxiste pro-soviétique en Afrique du Sud que les
états Unis et la grande Bretagne « luttèrent » contre l’apartheid.
Les marxistes en conviennent puisqu’ils
écrivent : « Les gens se sont cependant rendu
compte que l’ANC n’était autre qu’une formation nationaliste petite-bourgeoise
qui ne visait pas au renversement du colonialisme et du capitalisme, mais juste
à l’obtention d’une certaine reconnaissance pour les élites noires (des
‘‘autochtones civilisés’’, en somme) au sein d’un système capitaliste
légèrement modifié. Après l'arrivée au pouvoir de Ronald
Reagan, le sous-secrétaire d'état aux affaires africaines Chester Crocker se
fit avec succès le défenseur de la "théorie du Linkage" signifiant
"pas de retrait sud-africain et d'indépendance de la Namibie sans retrait
simultané des troupes cubaines d'Angola" ce qui sera fait en 1989, mettant
fin au contentieux entre l'Afrique du Sud et l'ONU. » La suite ici.
Mais finalement que savons nous de cette
ANC ? Le
08 janvier 1912, une poignée d’hommes,
des « chefs » traditionnels, des représentants d’associations et de curieusement
différentes Églises se retrouvent à Bloemfontein pour unifier les mouvements
protestataires sud africains. Ce jour-là naît une organisation, le South
African Native National Congress (SANNC, le Congrès national des indigènes
sud-africains), qui se transformera rapidement en African National Congress
(ANC, Congrès national africain). À la fin des années 1910, l’ANC soutient les
mouvements de protestation qui éclatent. C’est le cas en 1919 dans le Transvaal
contre le «pass»,
document qui permet de contrôler et de limiter les déplacements des Noirs, ou
en 1920 avec la grève des mineurs africains. Pourtant, ces formes d’action ne sont pas
du goût de tous les leaders de l’ANC, qui préfèrent poser poliment et de façon
non violente la question des fameux « droits » face à la force britannique,
y compris en se déplaçant jusqu’à Londres où, comme on pouvait s’y attendre,
ils se font éconduire sans ménagement. Une attitude qui entraîne une perte
d’influence de l’ANC dans les années 1920. C’est alors que se produit un
événement politique qui aura des répercussions énormes sur les orientations politiques
de l’ANC. En 1921 est créé le Parti communiste d’Afrique du Sud (CPSA, qui se
transformera dans les années 1950, en Parti communiste sud-africain le
clandestin, SACPSite officiel ici.). Quatre-vingt-dix ans
plus tard, Jacob Zuma, président de l’ANC et du pays dira: « Nous devons
marquer ce fait historique: le SACP a été le premier parti ou mouvement non racial (sic) en
Afrique du Sud. » Ainsi, l’ANC doit au Parti communiste l’un de ses entre
autres principes et de ses caractères notoirement marxistes, qui est d’être dit
et seulement dit ; non racial.» Déjà, en 1924, une résolution du Parti communiste soulignait « l’importance majeure
d’une organisation de masse pour la classe ouvrière dont les problèmes ne
peuvent être résolus que par un front uni de tous les travailleurs, quelle que
soit leur couleur ».
En 1944, une organisation de jeunesse typiquement
marxiste est créée au sein de l’ANC, c’est la Ligue des jeunes (Ancyl), dont
les dirigeants se nomment Nelson Mandela, Walter Sisulu et Oliver Tambo. Trois marxistes
convaincus qui joueront un rôle crucial dans les années à venir. Leurs idées marxistes
sont aussi basées sur le nationalisme africain (Une forme de National
Socialisme en quelque sorte). À ce moment-là, Mandela, notamment, ne voit
aucune nécessité d’un travail avec les Blancs et encore moins avec les
communistes. C’est pourtant grâce ou à cause de Walter Sisulu, membre du Parti
communiste (on le sait trop peu), et Moses Kotane que les idées de Mandela commencèrent
à évoluer vers un marxisme stalinien de bon aloi qu’il cacha sous le masque de
l’antiracisme (Un peu comme feu Mouloud Aounit du MRAP en France). Une telle construction
était unique sur le continent africain et même au-delà. Au sein des mouvements marxistes de « libération », il y
a toujours eu une tendance à écarter les communistes, voire à les réprimer une
fois la victoire acquise. Les communistes algériens en savent quelque chose !
ANC? La haine des blancs!
Tambo, dirigeant de l’Ancyl dira «Avant 1950, on avait
le sentiment qu’il y avait deux camps (…).
Mais après 1950, nous étions tous ensemble.» De fait, des dirigeants du SACP se
retrouvaient également à la direction de cette ANC, initiatrice, en 1955, de la
charte de la liberté, «phare pour la « lutte » de libération», selon
Mandela. On peut citer aussi le criminel assassin Chris Hani (tué après la chute de l’apartheid),
Ronnie Kasrils… L'ANC, était l'un des partis communistes
le plus doctrinaire du monde. Financée et entretenue par l'Union soviétique,
cette organisation constituait la bonne conscience à bon marché de l'Occident
et tirait son soutien militaire de Castro, Kadhafi et Arafat.
Après seulement vingt-sept
années d'emprisonnement Mandela est relâché le 11 février 1990, et
soutient la réconciliation et la négociation avec le gouvernement du président
Frederik de Klerk.
Rolilala avec le criminel communiste Castro
Si l’on pouvait douter des
orientations politiques marxistes immondes de Rolilala il n’est que de savoir
que pour son premier voyage hors d'Afrique du sud depuis sa libération il se
rendra à Cuba (en juillet 1991). Cela ne doit rien au hasard. S'adressant
à Fidel Castro, il lance: « Avant toute chose, vous devez me dire quand vous
viendrez en Afrique du Sud. Nous avons reçu la visite de tas de gens. Et vous,
qui nous avez aidés à entraîner nos combattants, qui avez financé notre lutte
pour qu’elle puisse continuer, qui avez formé nos médecins, etc., vous n’êtes
jamais venu chez nous.» En effet, le criminel contre l’humanité Castro
soutenait avec l’URSS marxiste et les différentes organisations africaines communistes
et terroristes en « lutte » contre le régime de l'apartheid qui
continuait en Afrique du Sud Rhodésie du Sud (futur Zimbabwe).
En 1993, il est dit que le
terroriste marxiste criminel reçoit avec ce dernier le prix Nobel de la paix
pour avoir conjointement et pacifiquement ( ?) mis fin au régime
d'apartheid et jeté les bases d'une nouvelle Afrique du Sud démocratique(sic).
Ce ne sera qu'en 2008, et
surtout sous l'impulsion de George W. Bush, que Mandela verra son nom disparaître
officiellement des bandes de données américaines qui listait les terroristes
criminels du monde..
L'Afrique du Sud fait aujourd’hui
et depuis l’ère Mandela clairement partie des pires violeurs des droits de
l'homme dans le domaine médical. La Coupe du monde de football de 2010 aurait
pu être une occasion d'informer l'opinion mondiale sur la négligence criminelle
dont ce gouvernement marxiste fait preuve depuis plus de 15 ans et de mettre la
pression pour que les choses bougent enfin; rien n'a été fait. Si un régime met
quelques douzaines de journalistes et blogueurs en prison, les médias d’Afrique
du Sud se déchaînent. Si un président a la mort de 120 000 bébés sur la
conscience, on lui remet le prix Nobel de la paix. Quel beau monde…
Après une transition
difficile où de Klerk et lui évitent une guerre civile entre les partisans de
l'apartheid, ceux de l'ANC et ceux de l'Inkhata séparatistes à dominante zoulou,
Mandela devient président d'Afrique du Sud en 1994. Après un unique mandat, il
se retire de la vie politique active, mais continue à soutenir publiquement le
Congrès national africain et est salué par les abrutiles marxistes culturels de
la planète comme le « père » d'une Afrique du Sud multiraciale et
pleinement démocratique, qualifiée de « nation arc-en-ciel ».
Cette mystique marxiste
comme tous ce qui est socialiste est un échec dramatique !
D'après le journal Le Monde du
28 décembre 2004, l'Afrique du Sud bat des records en matière de
criminalité : on y compte environ 20 000 meurtres par an, 30 000
tentatives de meurtre, plus de 50 000 viols et environ 300 000
cambriolages. Le taux de violence sexuelle en Afrique du
Sud était, en 2000, le plus élevé au monde: en 2009, on estimait qu'un
Sud-africain sur quatre avait commis un viol et qu'un enfant était violé toutes
les trois minutes.
Un panneau africain du sud bientôt en France ?
En 2005,
l'Afrique du Sud a compté quelque 19 000 personnes assassinées,
55 000 personnes violées et 120 000 hold-up selon les chiffres cités
par le Sunday Times. Pour les années 2007 et 2008, les statistiques ont
encore recensé quelque 240 000 cambriolages chez les particuliers, pas
moins de 60 000 vols dans les magasins, les usines et les bureaux, près de
140 000 cas de dégradation lourde de matériel, ainsi que 18 487
assassinats et 18 795 tentatives de meurtre. Les violences se concentrent
au Cap, à Durban, mais aussi à Johannesburg et à Pretoria. Les fermiers blancs
sont aussi fréquemment victimes d'attaques racistes de noirs. Ainsi même si les
derniers chiffres de 21012 publiés par la police en Afrique de sud témoignent
d'une légère baisse de la criminalité, et notamment des crimes à la personne.
On compte encore en moyenne 43 meurtres par jour dans le pays, dont deux
d’enfants.
Avec les
socialistes au pouvoir voila Français, le panneau de signalisation qui vous attend.
Vivre en Afrique du Sud fait froid dans le
dos. Des journaux ont parlé de cette femme de 92 ans violée et tuée à son
domicile, il y a des panneaux au bord des routes prévenant « vous entrez dans une zone dangereuse »,
les maisons individuelles peuvent être hérissées de barrières électriques qui
annoncent « ne pas toucher, danger
de mort ».Presque
tous les habitants d'Afrique du Sud ont une fois dans leur vie fait
l'expérience directe de la criminalité. C’est cela l’héritage de Mandela le
marxiste, le retour à la sauvagerie atavique et à la barbarie ?
Avec plus de 15 000 meurtres par an, un
chiffre extraordinairement élevé,l’Afrique du sud post Mandela est encore loin
de la civilisation. Quant aux agressions sexuelles, le ministre de la police
avoue qu’elles restent « obstinément
élevées », et c’est d’autant plus inquiétant que 40% des victimes
sont des enfants.
Selon l'indice de
développement humain (IDH) du Programme des Nations unies pour le développement
(PNUD), l'Afrique du Sud a reculé de 35 places dans leur classement entre 1990
et 2005, constatant l'appauvrissement général de la population. Le nombre de
personnes vivant en dessous du seuil d'extrême pauvreté a doublé en dix ans,
passant de 1,9 à 4,2 millions, soit 8,8 % de la population. Près de
40 % des villes en Afrique du Sud sont composées de townships et cette
différence entre les riches et les pauvres est très visible ainsi que très
présente, elle est à l'origine beaucoup de tension entre les deux prétendues
« classes sociales ». Plus de 43 % de la population vit avec
moins de 3 000 rands (260 euros) par an. Le
chômage a un taux officiel de 24,70 % selon l'OIT, mais les syndicats en
2013 l'estiment proche de 45 %.Et
le salaire moyen d'un Noir sud-africain atteindra le même niveau que celui d'un
Blanc en 2021.
En 2006, le pays détenait
la 121e place au classement mondial de l’indice de développement
humain. Aujourd’hui il figure à la 123 ème place sur 169 (recul de 35 places
entre 1990 et 2005, merci « papa » Mandela !) Une partie de la
minorité blanche rendue mal à l'aise notamment par la hausse de la criminalité
(541 fermiers blancs ont été sauvagement massacrés entre 1998 et 2001), par
l’imbécile discrimination positive mettant à des postes de responsabilité des
incompétents parce que noirs, par la pandémie du Sida, et par les événements gravissimes
survenus au Zimbabwe du communiste robert Mugabe à l'encontre des fermiers
blancs, émigre massivement en Australie ou en Nouvelle-Zélande. Ainsi, près
d'un million de Sud-africains blancs auraient quitté le pays depuis 1994.
Par contre cette
population blanche est remplacée par de nombreux Africains noirs qui immigrent
en Afrique du Sud pour gagner plus d'argent que dans leurs pays d'origine.
En mai 2008, Johannesburg
et d'autres villes du pays connaissent de violentes émeutes anti immigrés qui
font environ 50 morts, 25 000 sans-abriet provoqué le retour
dans leur pays de plusieurs milliers d'immigrés clandestins.
Le jeudi 16 août 2012, trente-quatre
mineurs ont été tués et soixante-dix-huit blessés dans des affrontements entre
grévistes et policiers à la mine de platine Lonmin de Marikana, au nord de Johannesburg,
selon un bilan officiel de la police nationale. Les mineurs, qui vivent dans
des taudis accolés à la mine, sans eau courante, touchent environ 4 000
rands par mois (400 euros). « Nous sommes
exploités, ni le gouvernement ni les syndicats ne sont venus à notre
aide », a déclaré l'un d'eux. « Les sociétés minières font de
l'argent grâce à notre travail et on ne nous paye presque rien. Nous ne pouvons
pas nous offrir une vie décente. Nous vivons comme des animaux à cause des
salaires de misère ».
Je conclurai cet article avec les citations de deux
grands esprits en premier l’ancêtre des libertariens Frédéric Bastiat qui dans
« La Loi » (1850) il y a plus d’un siècle à dit « Il y a
trop de grands hommes dans le monde; il y a trop de législateurs,
organisateurs, instituteurs de sociétés, conducteurs de peuples, pères des
nations, etc. Trop de gens se placent au-dessus de l'humanité pour la régenter,
trop de gens font métier de s'occuper d'elle » Un prophète !
Proudhon, qui fut le premier à se qualifier
d'anarchiste disait :"Le communisme, pour subsister, supprime tant
de mots, tant d'idées, tant de faits, que les sujets formés par ses soins
n'auront plus le besoin de parler, de penser, ni d'agir : ce seront des huîtres
attachées côte à côte, sans activité ni sentiment, sur le rocher de la
fraternité. Quelle philosophie intelligente et progressiste que le communisme
!"…
Michel Alain Labet de Bornay . . .
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