dimanche 2 avril 2017

Le BNVCA est indigné !





Vous pouvez regarder la vidéo ou vous comprenez facilement qu’aujourd’hui à l’ère du politiquement correct on appelle un musulman antisémite (Pléonasme), un déséquilibré ou un fou !
Le 30/03/2017 on a pu lire sur le site du BNVCA (Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme) ce communiqué : «Le BNVCA est indigné par un rapport inique qui pointe les banques françaises qui investissent en Israël. Le BNVCA condamne la FIDH (Fédération internationale des droits de l'Homme) et de la LDH (Ligue des Droits de l’Homme) qui se comportent avec l'Etat juif comme les délateurs antijuifs des années 40. Le BNVCA reçoit les protestations de très nombreux correspondants profondément indignés par les dénonciations visant des Banques françaises qui investissent en Israël. Le BNVCA et tous ses requérants dénoncent et condamnent ces délations scandaleuses qui font à l'Etat juif aujourd'hui ce qui se faisait contre les juifs dans les années 40. Les auteurs de ce rapport, La Fédération Internationale de Droits de l'Homme, et ses comparses de la C G T ou de la prétendue Ligue des Droits de l'Homme sont coutumiers du fait. Leur activisme palestiniste est connu pour être de cette nature antisioniste qui pousse à l'acte antijuif. Le rapport ne fait état que des investissements effectués en Israël accusés de construire pour la vie et le bien être des juifs qui ont choisi ce pays refuge. Ce rapport partisan est d'autant plus cynique et discriminatoire que les mêmes auteurs ne se sont jamais intéressés, n'ont jamais dénoncé, ni condamné les faiseurs de guerre, et tous ceux qui investissent dans le terrorisme international en général, destructeur au proche orient, tue en Europe en général et en France en particulier. Les mêmes délateurs restent silencieux à propos de ceux qui vendent et fournissent armes et munitions aux djihadistes, aux terroristes du Hamas, du Hezbollah et autres islamo terroristes. Pour le BNVCA il est désormais clair que ces prétendues FIDH et LDH Fédération et Ligue des Droits de l'Homme, sont intellectuellement corrompues au point de défendre les droits de l'homme sauf s'il est juif. Le BNVCA encourage les investisseurs à s'engager plus encore en Israël, pays leader dans les progrès technologiques les plus innovantes du monde dans tous les domaines utiles à tous les êtres de la planète».
Encore une fois et comme toujours le BNVCA fait l’impasse sur les origines politiques des nouveaux antisémites marxistes culturels qui sévissent maintenant dans le monde entier, ce nouvel antisémitisme est  l’odieux concept d’une nouvelle forme d'antisémitisme qui s'est énormément développée à la dernière moitié du XXème siècle et au début du XXIe siècle, émanant simultanément de la gauche et de l'islam et tendant à se manifester comme une opposition au sionisme et à l'État d'Israël. Cet antisémitisme de gauche, a en France, des origines profondes qui remontent au Stalinisme et même plus loin, au marxisme léninisme et au marxisme culturel élaboré par Wilhelm Münzenberg. En France les communistes, socialistes et assimilés, NPA, EELV, Front de gauche, LDH, MRAP qui distille de la haine des juifs  etc., sans oublier certains «républicains» sont tous fondamentalement antisémites, ce qu’oublie de dire (volontairement ?) le BNVCA. Ils sont tous plus ou moins antisémites tout en affirmant bien sûr le contraire. Voyez-vous amis ; Pierre André Taguief écrivait à propos de l’antisémitisme qu’il en existe deux formes : «L'une persistante, et bien connue, le vieil antisémitisme inhérent à une extrême droite (aujourd’hui fantasmée en France) ou au nationalisme xénophobe (en voie de disparition chez nous, tout aussi fantasmé par les gauchus fascistes rouges ou très très anecdotique dans les marges de l'espace politique français avec seulement quelques centaines de petits branleurs abrutis néo-nazis ou sociaux nationalistes, skinheads, et. pour l’ensemble du territoire national sans assise politique), l'autre en très forte expansion (plusieurs centaine de milliers de militants, sans compter les musulmans intrinsèquement antisémites), dont les principaux vecteurs sont la propagande des réseaux d’ultra gauche (marxistes culturels et islamistes et les démagogues ces nouveaux gauchistes marxistes, les fascistes rouges)», notons aussi les néo-communistes et autres fascistes rouges du PC se disant F, syndicalistes CGT et néo-gauchistes, alter mondialistes et nihilistes d’ATTAC ou du MRAP, le délicat mouvement qui distille de la haine des juifs, EELV (dont le Jérusalem+ dira sans se tromper qu’ils sont : «toujours aussi cons et antisémites»), trotskistes antisémites du NPA, militants et membres du Front de Gauche ou de la LDH, anarchistes «Antifas» ou «Black Bloc» et autres lobotomisés libertaires, marxistes culturels et abrutiles musulmans nidoreux et enfin tous les médias Français, exploitant tous massivement «la cause palestinienne», célébrée comme «cause universelle» par la gauche déliquescente de monsieur Hamon, Mélenchon et de type En Marche de monsieur Macron. On peut y voir la nouvelle expression du tiers-mondisme marxiste culturel et communiste et de l'idéologie marxiste révolutionnaire dite aussi marxiste culturelle: la fausse image du Palestinien martyr remplace avec celle de l’immigré clandestin le prolétaire en «lutte» pour la société sans classe collectiviste.
Michel Alain Labet de Bornay président du Collectif Tous Ensemble Contre le Nouvel Antisémitisme (CTECNA) dans un livre qui vient de paraitre nommé Note 9 avance dans celui-ci que cet antisémitisme est exclusivement l’enfant de la gauche Française. Quelques extraits du chapitre 8 sont éclairants sur ce point et le silence continuel du BNVCA sur les origines politiques des nouveaux antisémites. Ci-après extraits choisis du chapitre 8 : «Roger Perelman était né Rachmil Boruch Perelman à Varsovie en 1922 (son prénom sera plus tard «francisé» en Roger). Son père Chaskiel Perelman émigre en 1923 à Paris, où il est rapidement engagé chez un tailleur réputé. Il y fait l'objet d'un arrêté d'expulsion, mais un des clients qu'il habille est Horace de Carbuccia, «propriétaire de Gringoire, hebdomadaire politique et littéraire français de droite fondé en 1928 par Horace de Carbuccia assisté de Georges Suarez et de Joseph Kessel, très lu tout au long des années 1930, parmi les collaborateurs du journal il y avait Irène Némirovsky, fille d'un riche banquier juif d'Odessa, écrivain d'origine russe, juive convertie au catholicisme. Après le début de la guerre, Gringoire est le seul magazine qui a continué à la publier, sous pseudonyme, garantissant ainsi à sa famille le revenu dont elle avait désespérément besoin, jusqu’à son arrestation, en 1942, par la gendarmerie française et sa remise aux nazis». (…) Le jeune homme fréquenta on l’a vu, le Yiddisher Arbeter Sport Club. Roger Perelman repensant à sa jeunesse au sein de cette organisation soi-disant yiddish mais pleinement marxiste culturelle et à la faiblesse de la formation théorique qui l’a reçue à cette époque observera : «j’étais endoctriné sans savoir la doctrine, pratiquant d’une foi transmise par le seul contact avec les porteurs de la foi (…) cette foi imposait un engagement total, la subordination absolue de la vie privée aux exigences de la lutte». Si j’ai parlé de Perelman survivant de la barbarie nazie et d’Auschwitz, c’est que ce pédiatre de renom et devenu un homme de gauche par les mensonges permanents du marxisme culturel. L’adhésion aux idées de «gauche» procédait et c’est lui qui le dit d’une foi plus ou moins éclairée appuyée sur des certitudes absolues débouchant comme chez les premiers chrétiens ou les témoins de Jéhovah sur des espérances captivantes. L’idéal «rouge» pouvait dès lors être considéré comme une sorte d’acte religieux remplaçant les vieilles allégeances métaphysiques. Les «fidèles» en étaient venus à s’exprimer avec des mots issus du vocabulaire religieux, ainsi Artúr Kösztler dit Arthur Koestler, lui aussi un homme du «trust» Münzenberg, d’origine hongroise juive ashkénaze et de langue allemande, cofondateur du Betar (mouvement de jeunesse sioniste révisionniste) se converti pour un temps à la religion séculière marxiste en entrant au Parti Communiste Allemand en 1931 et en sortant en 1938, en raison des procès antisémites de Moscou. Arthur Koestler évoquera toutefois dans ses soi-disant souvenirs : «la merveilleuse expérience sociale» se déroulant en URSS et la «justice», la «prospérité», «l’égalité» qui en découlait (Et tout cela malheureusement sans rire !) conclura : «Bref nous étions à tous égard du côté des Anges». Allan Stewart Konigsberg dit que Woody Allen lui dira : «Dieu est mort, Marx est mort et moi-même, je ne me sens pas très bien...». (…) il existe bel et bien un antisémitisme spécifique à la gauche et à la fausse droite dite républicaine. Du début de la révolution industrielle à nos jours, toutes les composantes de la gauche ont tenu et tiennent toujours des propos antisémites et ont poussé et poussent encore à la haine des juifs. À l’antisémitisme économique associant les Juifs au capitalisme, exprimé par de nombreux socialistes au 19ème et 20ème siècle, s’est ajouté un antisémitisme racial et xénophobe à partir des années 1880. Au lendemain de l’affaire Dreyfus, tournant fondamental, l’antisémitisme n’est plus revendiqué ouvertement dans les rangs de la gauche. Mais il n’y disparaît pas pour autant et on le voit encore à l’œuvre, dans l’entre-deux-guerres, à la SFIO et chez les pacifistes, au sein du Parti communiste, puis pendant la dernière guerre chez les mêmes qui ont voté les pleins pouvoirs à Pétain et on fait partie du fameux gouvernement de Vichy à 99% Socialiste. Je n’ai été que l’instrument de Dieu, voilà ce que Drumont journaliste et écrivain socialiste, antisémite et nationaliste français écrira au sujet de la rédaction de son pamphlet fleuve, La France Juive. Véritable compilation de ragots et de soupçons antisémites en tous genres, ce livre, paru en 1886, sera l’un des plus grands succès d’édition de la fin du XIXème siècle, assurant à l’auteur un confort matériel certain. Succès évidemment dans les milieux de la gauche socialiste et anarchiste, séduite par le côté anticapitaliste de l’antisémitisme. Encore un mot sur cet antisémitisme socialiste en parlant un instant d’Ernest Granger. Un des plus proches disciples de Blanqui, cofondateur du Comité Révolutionnaire central. Rédacteur en chef du Cri du peuple après la mort d’Eudes. Rédacteur au journal Ni dieu ni maître. Antisémite, partisan du socialisme national. Il disait : «Nous aussi, après Blanqui et Tridon, nous sommes, philosophiquement, des antisémites. Nous pensons que le sémitisme a été funeste au génie aryen et nous déplorons que le sombre, persécuteur, impitoyable monothéisme juif ait triomphé des libres et naturalistes religions gréco-romaines. A cet égard, nous sommes même beaucoup plus antisémites que Drumont et Morès, car nous, nous n'oublions pas que le christianisme est une religion sémitique, fille du judaïsme, et nous avons une égale horreur du juif Jésus et du juif Moïse» (Cité dans GR, p 202) ; Il sera député boulangiste (Boulangisme: Rassemblement national et socialiste sous le nom du général Boulanger) de la Seine en 1889 et traité d’ «idiot» par Engels, exaspéré par le chauvinisme du socialisme français. Connaissez-vous aussi  par exemple un certain Gustave Paul Cluseret ? Ce membre de l’Internationale Socialiste combat avec Garibaldi en Italie et avec les nordistes pendant la guerre de Sécession américaine. Elu de la commune de Paris. Délégué à la guerre en avril 1871. Condamné à mort, il réussit à s’enfuir. Il est amnistié en 1880. Député boulangiste du Var. Le socialiste Cluseret et un antisémite militant. En 1887, il entraîne une partie des Blanquistes dans une alliance avec la Ligue des Patriotes de Déroulède, il est aussi collaborateur du journal antisémite de Drumont  La Libre parole. Antidreyfusard. En 1885, avec d’autres députés d’extrême-gauche, il dépose un projet de loi de limitation du droit des naturalisés. En 1889, il fait partie des 198 députés qui demandent au gouvernement «quelles mesures il comptait prendre pour arrêter la prédominance des juifs dans les diverses branches de l'administration française».                                                            Cet antisémitisme socialiste forcené ce retrouve après-guerre, à l’ultragauche, sous la forme du négationnisme. Faisons ici  la preuve de l’antisémitisme de cette gauche radicale antisémite et négationniste au travers du cas de madame Ginette Hess-Skandrani ou Ginette Skandrani militante «écologiste» (Pastèque : Vert dehors, rouge dedans) membre fondatrice du Parti d’ultra gauche les Verts, aujourd’hui Europe écologie. Elle fut une des membres du bureau de campagne du pseudo humoriste, mais véritable antisémite Dieudonné M’bala M’bala pour l'élection présidentielle de 2007. Elle est actuellement présidente de l'association La Pierre et l'Olivier. Beaucoup de ses écrits ont été repris sur le site négationniste Aaargh (interdit en France et rendu inaccessible par décision de justice, mais facilement consultable librement sur le net). Elle a participé au journal tunisien L'Audace édité par Slim Bagga qui a soutenu Roger Garaudy (Ginette Hess-Skandrani est coéditrice du pamphlet antisémite et faux Manifeste judéo-nazi d'Ariel Sharon).                                                                                     Jean Claude Fernand Willem maire communiste de Seclin, après en 2002 un dépôt de plaintes pour incitation au boycott des produits juifs, fut poursuivi pour le délit de provocation à la discrimination nationale, raciale, religieuse par parole, écrit ou moyen de communication audiovisuelle (art. 23 et 24 de la loi sur la presse du 29 juillet 1881). La relaxe en première instance fut infirmée au stade de l’appel et le maire fut condamné à une amende de 1 000 euros. La Chambre criminelle de la Cour de cassation rejeta le pourvoi de ce dernier en 2004 confirmé par l’arrêt du 16 juillet 2009 de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, monsieur Jean Claude Willem communiste, était bien un raciste antisémite, point barre! Il est bien sûr certain hormis quelques gens sérieux, dont votre serviteur, quasiment personne n’a donné la couleur politique de monsieur Willem (Et surtout pas le BNVCA) ! 
                                                                                                   Le 22 mai 2012 était condamnée par la cour de cassation Sakina Arnaud membre de la Ligue des Droits de l’Homme, pour sa participation à la campagne antisémite marxiste culturelle Boycott-Désinvestissement-Sanction (BDS) dans sa région. Et pour «incitation à la discrimination raciale, nationale et religieuse» à une amende pénale de 1 000 euros, plus 1 euro de dommages et intérêts pour les parties civiles (l’association Avocats sans frontières de Gilles-William Goldnadel, qui venait d’être élu à la direction du Conseil représentatif des institutions juives de France, et la Chambre de commerce France-Israël) et 500 euros de frais de justice. Il est évident que l’appartenance à la LDH de madame Arnaud née Kimoun sera tenue quasiment secrète par tous ce petit monde très politiquement correct (dont bien, sur le BNVCA) !                                                                                                                                                                      En 2015 nous allons encore plus loin puisque nous avons des condamnés pour incitation à la haine raciale antisémite, qui se présentaient aux suffrages des Français pour les régionales ! Ils étaient trois ! Honneur aux dames ; en premier on trouvait en Alsace,  madame Aline Parmentier suivie toujours en Alsace par madame Sylviane Muré-Topouzian et dans l’Orne par monsieur François Tollot. Des multirécidivistes de la haine raciste, tous du Front de gauche (…). Le 8 Janvier 2014 la cour d’Appel de Colmar avait condamné la «camarade» Aline Parmentier, secrétaire départementale (ou fédérale) du Parti Communiste se disant Français section Alsace, membre du Front de Gauche et du «collectif» nauséabond Boycott68 activiste de la campagne antisémite BDS et de l’AFPS raciste et antisémite se revendiquant de l’idéologie marxiste aux cent cinquante millions de victimes innocentes. Elle a, par la cour d’Appel de Colmar avec une dizaine d’autres braves gens et délinquants racistes marxistes culturels et autres racistes antisémites Islamos marxistes du PIR ou d’EELV, Jean Michel Baldassi, Maxime Roll, Christiane Topouzian épouse Mure, Henri Eichholzer, Mohammad Akbar, Farida Trichine, Jacques Ballouey, Leïla ou Laïla Assakali, Assakali Yahia, Habiba El Jarroudi épouse Assakali, Assya Ben Lakbir, condamnés pour avoir provoqué à la discrimination à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion… En résumé madame Parmentier et ses complices (Dit les 12 de Mulhouse) ardemment soutenu par la FSU étaient définitivement condamnés pour provocation à la haine raciale antisémite ! Point barre ! Ces opérations racistes antisémites comme les profanations de cimetières, étaient un volet de cette propagande palestinienne qui incite à la haine d’Israël et pousse à l’acte antijuif comme celui de Coulibaly, de Youssouf Fofana, de Mohamed Merah qui avait dit avoir assassiné des enfants juifs pour  «venger les enfants Palestiniens» ou de Mehdi Nemmouche et autres «Jihadistes» musulmans depuis. (…) J’affirme ici que les discours et propagande terroriste communiste pro palestinienne des inculpés d’incitation à la haine raciale de Mulhouse et d’ailleurs, véritables boutes feu de la haine, sont à l’origine des meurtres antisémites commis sur Jonathan Sandler, 30 ans, ses deux fils Gabriel et Arieh, 4 et 5 ans, et la petite Myriam Monsonego, 7 ans, fille du directeur de l'école Ozar Hatorah de Toulouse commis par le musulman terroriste Mohamed Merah qui se revendiquait être un moudjahidine (un musulman combattant d’allah), et avoir voulu venger les enfants palestiniens autant qu'avoir voulu s'en prendre à l'armée française compte tenu de ses interventions à l'extérieur contre l’Islam terroriste. Lorsque le musulman raciste et antisémite Mohamed Merah écoutait ces slogans vociférés par ces «anti sionistes» haineux des Collectifs divers et avariés et complaisamment relayés par les médias ou associations tel le MRAP (Association marxiste culturelle qui distille de la haine des juifs, (mais très proche du BNVCA) et autres NPA, EELV, Front de Gauche tous marxistes culturels: «Israël assassin d’enfants», «Israël assassine des femmes et des enfants» ou lorsqu’il entendait Mahmoud Suleyman, le maire du village palestinien d’Al-Masara près de Bethléem en «visite» à Paris, éructer dans un supermarché Carrefour avec ces amis de BDS à Évry le 4 juillet 2009 lors d’une «action» de propagande et d’incitation au boycott suivant les merveilleuses méthodes de propagande marxistes culturelles chères à Willi Münzenberg: «En achetant ces produits, vous soutenez l’armée Israélienne afin qu’elle tue les enfants palestiniens, donc, vous devez boycotter Israël, vous devez arrêter d’acheter des produits Israéliens, chacun équivaut à une balle qui va tuer un enfant en Palestine». Ces incitations à la haine raciale ont favorisé le passage à l’acte de Merah. Il est donc «logique» que ce soit un bon musulman qui ait voulu «venger» les «enfants» palestiniens ! Il est bien sûr encore une fois que ces révélations non politiquement correctes, ont été systématiquement et volontairement tues par les médias et le  BNVCA! 
                                                                                    Continuons donc avec les fameux 7 d’Alençon pour cibler au sein de la nébuleuse BDS marxiste culturelle les «porteurs de haine raciale antisémite» suivant en cela madame Martine Aubry qui dira : «les boycotteurs se trompent de combat en prenant le parti de la censure plutôt que celui de la paix, celui de la séparation plutôt que celui de la possible et nécessaire coexistence - celui, en un mot, de la haine et non de la parole et de la vie partagées». C’est ainsi que le 24 novembre 2014 la Cour d'Appel de Caen a, (suite à la plainte déposée en février 2010 par le BNVCA) (…) condamnée l’enseignante professeur des écoles quinquagénaire Christine Coulon «militante» du NPA, François Tollot 67 ans, ingénieur agronome retraité, membre du Parti Communiste, adjoint au maire d’Alençon, Nicole Le Strat retraitée de l’éducation nationale (Professeur certifié) Syndicaliste au SNES le syndicat marxiste «voyou», Chantal Mallet aussi «professeur/e» des écoles, Pierre Frénée, Maître Joseph Louis Auguste Montier dit Jo Montier avocat spécialiste en droit rural, membre du «Collectif» antisémite Orne Palestine et de l’AFPS 61 et Alain Bertin de l’AFPS (Antisémites Français Populaires et Soviétiques), tous coupables et condamnés à la peine de 500 euros avec sursis pour l'infraction d'entrave à l’exercice d’une activité économique quelconque ou «boycottage économique» réprimée par l'article 225-2 du Code pénal. Ces gens-là bien sûr, bénéficiaient de l’entier et plein soutien du MRAP, mouvement qui distille de la haine des juifs (dont l’ancien président Mouloud Aounit faisait bénéficier des bonnes subventions de l’argent public les écoles confessionnelles juives de son départent se gagnant ainsi la reconnaissance éternelle du BNVCA). Extrait du communiqué : «Le MRAP exprime son entière solidarité avec les 7 militants d’Alençon (dont 2 adhérents du MRAP) et rappelle que la campagne internationale «BDS» (Boycott, Désinvestissement, Sanctions) est une campagne non violente, ciblée contre la colonisation illégale et la fin de l’occupation des territoires palestiniens de Cisjordanie et de Jérusalem Est, obstacles essentiels à la paix». Le CTECNA et le BNVCA qui recensent les actes antisémites depuis près de 15 ans confirment que la propagande palestinienne de BDS et AFPS marxiste est la source principale de l'antisémitisme et du terrorisme musulman. Les opérations d'appel à boycott participent de cette propagande antisioniste antisémite qui incite à la haine d'Israël et pousse à l'acte antijuif. Comme le 13 novembre 2015 au Bataclan. Il est par contre particulièrement curieux que dans le cadre de ces condamnations pour antisémitisme le BNVCA n’ai jamais affiché la couleur politique des condamnés lorsqu’ils étaient de «gauche»  ou «Islamomarxistes» le BNVCA très politiquement correct et même marxiste culturel par certaines «haines» particulières et non fondées contre les patriotes Français du Front National, si il reconnait bien comme moi qu’il a existé un fascisme brun qui a fait plus de six millions de morts juifs dans la Shoa, fascisme brun aujourd’hui très anecdotique sur le plan politique, refuse de reconnaitre le fascisme rouge qui a fait lui, pendant la même période, au moins 3 millions de morts juifs, toujours très virulent en France et toujours autant antisémite avec ses complices islamomarxistes. Un exemple dans l’affaire dite des 12 antisémites de Mulhouse, madame Parmentier avait déposé une plainte contre moi parce que je l’aurait qualifiée comme le faisait madame Aubry de porteuse de haine, j’ai téléphoné au BNVCA qui ne m’a pas accordé d’attention disant que mon affaire était «compliquée», ce qui fait que j’ai été le lendemain de la condamnation pour incitation à la haine raciale antisémite de la dite dame Parmentier condamné à un Euro symbolique de dommage et intérêt sans compter 2000 euros d’amende deux jours de prison ferme et 800 Kilomètres menotté comme un terroriste rouge ou vert pour aller voir le juge d’instruction à Mulhouse, une honte!
La vraie honte c’est que le BNVCA a pompé sans vergogne mes recherches faites sur un des inculpés pour les faire condamner tous, sans jamais citer la couleur politique d’ultra gauche marxiste de ces antisémites ; d’autant que le cas gravissime de l’enseignant d’Henri Eichholzer est particulièrement emblématique de cet antisémitisme récidiviste de gauche marxiste parmi les cas des malfaiteurs antisémites «Français» (Dans le lot des délinquants de Mulhouse, Mahomet Akbar n’est pas Français, mais de nationalité Afghane). (…) Monsieur Henri Eichholzer enseignant agrégé d’histoire/Géographie au Lycée Montaigne à Mulhouse, militant de l’AFPS68 (organisation marxiste culturelle et communiste antisémite pro Hamas, bras armé d’une annexe du Parti Communiste osant ce dire Français) partie intégrante de la nébuleuse de la haine rouge marxiste culturelle crée en 1921 par Willy Münzenberg. L’AFPS était dirigée par son fondateur, Jean-Claude Lefort 72 ans ancien membre de la Jeunesse communiste (bureau national) et en 1964 du Parti communiste s’affirmant Français qui avait été de 1971 à 1979 le secrétaire particulier du raciste et travailleur volontaire en Allemagne nazie Georges Marchais. (Le vieux slogan mystificateur des «amis» de Georges: «Nous ne sommes pas antisémites puisque nous étions antifascistes !» avait déjà servi en 1945 à berner les masses juives reconnaissantes à l'égard des victoires des alliés de l’Allemagne nazie jusqu’en Juin 1941 l'URSS, afin de leur cacher la réalité stalinienne antisémite et négatrice de leur identité. Cette permanence d'arguments ne doit rien au hasard, car la gauche Française avec une partie de la droite et du centre n'ont pas aujourd'hui envers les juifs de politique différente de celle développée en ex URSS et en Pologne communiste contre eux. C'est d'ailleurs ce qui les rend si peu combatifs et si peu convaincants dans la dénonciation de l'antisémitisme en ex URSS ou régnait un fascisme rouge qui n’avait rien à envier au brun. Dans ce pays, celui-ci était officiellement condamnable aux yeux de la loi. Mais comble de tartufferie, les juifs n'avaient pas le droit d'y exister en tant que juifs. Dans leurs différences. Le fascisme brun brûlait les juifs dans leur corps et ce que Georges Marchais et les marxistes culturels d’aujourd’hui appellent le «socialisme» de ces pays, ce qui était en vérité un pur fascisme rouge bureaucratique d'Etat, qui non content de les éteindre dans l'esprit en a exterminé plus de trois millions sous Lénine et Staline (Voir Note9 par Alain de Bornay Cliquez ici.). Jean-Claude Lefort devient en 1983 le secrétaire de la Fédération du Val-de-Marne du Parti communiste. Il est député honoraire. A 27 ans Henri ou Henry Eichholzer avait déjà des «idées» particulièrement nauséabondes, puisqu’il avait été condamné à 4 ans de prison par un tribunal de district de Tel-Aviv le 14 Mars 1984 pour avoir collaboré avec le FPLP, organisation  terroriste placée sur la liste officielle des organisations terroristes du Canada, des États-Unis d'Amérique et de l'Union européenne, organisation marxiste partie de l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) les preuves de ses liens avec l’organisation de criminels communistes antisémites de l’OLP avaient été trouvées par les forces israéliennes à Beyrouth. L'accusé, inculpé et définitivement condamné pour incitation à la haine raciale antisémite, Henri Eichholzer n’en est pas à son coup d’essais, en effet il avait notamment été chargé en 1978 de prendre des photos des 36 étages de la Shalom Tower, plus haut bâtiment de Tel Aviv, et de les transmettre aux terroristes antisémites du FPLP qui projetaient un attentat. Il a affirmé qu'il ne reconnaissait pas que les photographies aient été conçues comme un guide pour les terroristes qui prévoyaient de poser des bombes dans le bâtiment qui abrite les bureaux du gouvernement, des entreprises et un grand magasin. Le camarade Eichholtzer avait été arrêté en Août 1983 lors d'une visite en Israël. Ses liens avec les communistes du FPLP avaient été confirmés par les documents trouvés à Beyrouth. Il avait été discrètement gracié par Shimon Pères à la demande de François Mitterrand sous la pression des ministres communistes de l’époque. (Source The Jewish Florida du 30 Mars 1984).Le BNVCA mis au courant et en faisant état au procès n’en soufflât mot dans ses communiqués !                                                                                                                                            Le marxisme culturel et le politiquement correct a complétement vérolé toute une partie des Français de quelques confessions religieuse que ce soit, ceux de confession Israelites ayant été par les organisations de Münzenberg plus ciblées que les autres, ceci explique peut-être cela. 
                                                                                              Le 25 janvier 2006, l’Assemblée parlementaire du conseil de l’Europe condamnait officiellement «les violations massives des droits de l’homme commises par les régimes communistes». Le Parlement européen reconnaissait, en 2008, l'Holodomor en Ukraine (Le génocide organisé par les communistes qui a fait 9 millions de mort) comme «un crime effroyable perpétré contre le peuple ukrainien et contre l'humanité». Faisant de ce fait d’un communiste d’aujourd’hui un complice de crimes contre l’humanité à l’instar d’un social nationaliste ou néo nazi ! L’Holodomor cet épisode atroce de famine organisée et exécutée sans pitié au nom de l’abominable idéologie marxiste, devrait être enseigné dans les classes d’histoire, car il démolit deux mythes particulièrement bien ancrés dans notre pays: Le premier mythe nous fait croire que le communisme, contrairement au nazisme, part d’une bonne intention.
                                                                                                                                                                      Le deuxième mythe consiste à faire croire que le socialisme internationaliste et le socialisme nationaliste des nazis n’ont absolument rien en commun, grâce à une petite ruse sémantique.                                                                                Si au lieu de traduire le mot «nationalsozialismus» par «national-socialisme» qui est un germanisme, on le traduit en bon français par «socialisme national» là, ça change tout et ça… socialistes, marxistes culturels et autres roses vermines, sans oublier les communistes  et autres petites taches rouges du Front de Gauche bien sûr ne le veulent pas ! Le marxisme, doctrine du socialisme, c’est la guerre des classes, et la guerre des classes implique de liquider une partie de la population. Car pour restructurer la société, il faut d’abord éliminer non seulement les opposants politiques, mais aussi les intellectuels (très souvent juifs), les meilleurs travailleurs (souvent juifs aussi), les artistes non conformes à la doctrine, etc. C’est le genre d’ingénierie sociale qu’ont mis en œuvre Lénine, Staline, Mao, Pol Pot et Mugabe, pour ne citer que les socialistes les plus sanguinaires. Cette ingénierie sociale forcée répond aussi à des critères ethniques lorsque des peuples entiers sont considérés comme trop «réactionnaires». Karl Marx prônait lui-même «l’extermination des Serbes et autres peuplades slaves, ainsi que les Basques, (?) Les Bretons (?) et les Highlanders d’Écosse», tous peuples trop peu évolués pour la révolution socialiste et faisant ainsi obstacle à l’inéluctable «progrès…» de l’humanité. Robert Misrahi, dans un Marx et la question juive, en 1972, l’accusera d’avoir écrit «un des ouvrages les plus antisémites du XIXe siècle», où serait lancé, ni plus ni moins qu’un «appel au génocide». Ce fut mis en œuvre par le socialiste internationaliste de Lénine dès 1918, puis par le socialisme dans un seul pays de Staline puis par le socialisme nationaliste d’Hitler qui avait décrété que «les races nuisibles au progrès socialiste de l’Humanité» étaient cette fois les Juifs, les tziganes, les homosexuels et les personnes de couleur, entre autres… Le décret 0054 du NKVD soviétique du 28 novembre 1940, publié en pleine période du grand amour entre les communistes et les nazis, précisait : «Doivent exclus de la société socialiste…les membres de partis politiques, les personnes qui ont été exclues du parti communiste, les réfugiés, les étrangers (NB : les juifs étaient considérés comme des étrangers en Russie soviétique), les personnes qui ont voyagé à l’étranger, les personnes qui font de l’espéranto ( ?), les philatélistes ( ??), le personnel de la Croix Rouge, les personnes qui mènent une activité paroissiale, les membres du clergé, les membres actifs des communautés religieuses (notamment les juifs), les aristocrates, les propriétaires terriens, les commerçants aisés, les banquiers, les industriels, les restaurateurs et les hôteliers (les trois dernières catégories comportaient une très forte proportion de juifs)…».
Eh bien voilà, en exclusivité pour les lecteurs du blog du Collectif Tous Ensemble Contre le Nouvel Antisémitisme, vous venez de lire quelques extraits du Livre d’Alain de Bornay Note 9, les curieux ne voulant pas mourir idiots et qui veulent commander Note 9, le livre aux 558 très belles pages entièrement écrites avec deux doigts de l’homme et des lettres latines, formant des mots en un Français de France digne des plus grands auteurs classiques, c’est simple cliquez sur : Note 9
Philippe Val a dit dans Traité de savoir-survivre par temps obscurs : «Quand commence la vie privée ? Quand un individu s'isole pour lire un livre. Voilà pourquoi le totalitarisme, qu'il soit communiste ou fasciste, brûle d'abord les livres. C'est parce qu'ils sont la clef qui ouvre la porte de la vie privée». Vous aussi ouvrez la porte, commandez Note 9 pour cela cliquez là sur : Note 9 !
On a pu lire au début de notre article que sur le site du Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme est paru un communiqué : Le BNVCA est indigné ! Communiqué ou encore une fois et comme toujours le BNVCA fait l’impasse sur les origines politiques socialistes et marxistes des nouveaux antisémites qui sévissent en France.
Mes fidèles lecteurs savent depuis septembre 2012 à la mort de monsieur le président élu démocratiquement à vie Mouloud Aounit ou j’écrivais: La mort devrait effacer tout : Les critiques, les récriminations et les rancunes. On ne doit jamais se réjouir de la mort d’un homme, même quand il s'agit de son pire ennemi. Mais en guise de nécrologie, il faut avouer qu’Israël et le CTECNA n’ont pas perdu en Mouloud Aounit un ami. Mouloud Aounit un marxiste culturel a certes consacré toute sa vie au combat contre le prétendu «racisme» et il n’a pas dévié d’un poil de sa ligne directrice collectiviste en se faisant le chantre des ennemis d’Israël. Marxiste convaincu, il s'est politisé à sens unique. Président du Mrap de 2004 à 2008, il s’était rapproché de ces camarades du Parti Communistes, des staliniens français et des gauchistes trotskistes du NPA avec qui il avait souvent manifesté dans les rues de Paris ou les cris de «mort aux juifs» s’élevaient des rangs des militants antiracistes en toute impunité. A ce titre donc, il se sentait obligé d’orienter ses attaques contre l’État juif. Il a fréquenté et défendu ouvertement des antisémites et des négationnistes notoires comme son camarade de Parti Garaudy, son coreligionnaire Tariq Ramadan ou l’antisémite Dieudonné dont il cautionnait les thèses nauséabondes et les attaques contre Israël. Élu au conseil régional d'Île-de-France, en tant que tête de liste en Seine-Saint-Denis de la liste de rassemblement menée par le Parti Communiste se disant Français, il n’obtint pas la vice-présidence pour des «propos contestables» tenus dans le passé. Par dépit, il avait alors affirmé que le président Huchon «était aux mains du lobby juif». Ses attaques contre Israël étaient devenues courantes au point qu’il évitait les commentaires sur les attentats du Hamas et du Djihad Islamique et préférait concentrer son réquisitoire uniquement contre Israël. Il avait appelé au boycott des produits israéliens dans le cadre d’une passe d'arme entre intellectuels et associations de lutte contre le racisme. Il s’était alors permis des propos qu’aucun raciste n’aurait désavoués : «N'y a-t-il pas aujourd'hui un apartheid en Israël? Le combat que nous menons reste fidèle à l'éthique et à l'identité du Mrap. Nous ne sommes pas là pour dénoncer les israéliens en tant que peuple ou en tant qu'individus, mais le fait que l'État d'Israël organise et structure une certaine forme d'apartheid. Quand les États et la communauté internationale ne sont pas capables d'agir face aux violations du droit international perpétrées par Israël, il est bien que les citoyens puissent le faire. Et je suis fier de faire partie de ce combat».
Pour un défenseur du racisme, il devenait clair qu’il avait franchi la ligne jaune qui le plaçait dans le camp des antisémites. Monsieur Cyclopècar de nous a prouvé qu’un communiste n’a pas d’âme, ainsi celle de Mouloud ne pourra pas reposer en paix aux côtés de ceux qui ont combattu en vain l’État juif et qui sont partis au paradis d’allah con, niquer les 72 vierges ou les petits garçons et se bourrer la gueule au gros rouge du fleuve de vin qui coule au dit paradis, sans laisser de trace indélébile. Il n’y retrouvera donc pas ses amis collectivistes ou musulmans qui ont voué leur vie terrestre à la destruction de l’état juif, si ce n’est de son peuple. S’il est impossible d’évaluer avec précision les dégâts provoqués par les agissements nauséabonds des imposteurs des faux mouvements «antiracistes», il n’en reste pas moins que ceux-ci continuent à prendre une ampleur non négligeable. De plus combien de gens savent que ce mouvement marxiste culturel le MRAP «distille de la haine des Juifs en général !». Citation de Maurice Winnikamen tirée de Grandeur et misère de l’antiracisme : Le MRAP est-il dépassé ? (page 203) Aux Editions Tribord. Il est pour le moins curieux que monsieur Sammy Ghozlan président du BNVCA ait été «ami» avec le président d’un mouvement qui distille de la haine des juifs ; va comprendre Charles !
Ainsi nous ne comprenons pas qu’à l’époque le BNVCA ai pu nous pondre un communique pareil: Extrait : « Le Bureau National de Vigilance Contre l'Antisémitisme apprend avec tristesse le décès de Mouloud AOUNIT président du MRAP (…) Mouloud Aounit était un ami personnel de Sammy Ghozlan depuis plusieurs années. Ensemble; ils ont œuvré pour le rapprochement des communautés, et lutté contre les discriminations, le racisme et l'antisémitisme, notamment dans le département de Seine Saint Denis. Dépassant leurs opinions quelquefois divergentes, ils se sont souvent concertés, afin de de désamorcer des situations conflictuelles et parfois dangereuses. Militant courageux, honnête et engagé, Mouloud AOUNIT était aussi membre du Conseil d'Administration du groupe scolaire juif, CHNE OR d'Aubervilliers, pour lequel il avait favorisé l'obtention de subventions du Conseil Régional d'Ile de France, lors de son mandat d'élu de cette collectivité territoriale ».
Faire le panégyrique d’un antisémite par ce qu’il aurait donné 3 sous qui ne lui appartenaient pas à une école confessionnelle, c’est faire peu de cas du don en l’année 2000 sur le budget du Mrap d'environ 600 000 euros (Entièrement subventionné par de l’argent public) au «Comité de bienfaisance et de secours aux Palestiniens», placé en 2003 par Washington sur une liste noire d’organisation terroriste. Ce qui lui valut un refus de demande de visa pour les états unis pour cause de soutien matériel à une organisation terroriste antisémite.
C’est faire peu de cas aussi de la «collecte» réalisée sur le compte bancaire de la Mouvance Radicale Acquise aux Palestiniens pour l’action antisémite «Un bateau pour Gaza» ou des fonds publics furent attribués pour cet immonde acte de guerre contre Israël par une «association» Française subventionnée !
Ainsi cette «amitié» avec le BNVCA ne peut peut-être s’expliquer qu’en faisant foi aux déclarations étonnantes faites dans le communiqué et la lettre ci-dessous. Cliquez ici.
Communication au Président de l’ECOSOC (Conseil économique et social de l’ONU) relativement à l’Organisation Non Gouvernementale française MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples), qui possède le statut consultatif auprès de l’ECOSOC, depuis 1974.
De : Michel Dakar le 4 février 2010
A Hamidon Ali, Président du Conseil Economique et Social – ECOSOC de l’Organisation des Nations Unies. (…) votre attention sur la réalité de l’ONG française MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples), dont le but affiché sert à dissimuler son but réel qui en est exactement le contraire.
1 - L’origine réelle du MRAP est à découvrir dans les organisations juives sionistes américaines formées au début du 20ème siècle, pour pousser la population juive européenne à l’émigration coloniale en Palestine. En 1913 est apparue aux USA l’organisation juive ADL (Anti Defamation League). Comme sa dénomination l’indique, son but réel, l’émigration coloniale juive en Palestine, était dissimulé derrière la défense morale de la communauté juive. Il est à noter qu’en 1908, apparurent en Palestine le «Bureau palestinien», destiné à l’achat de terre pour la colonisation juive, ainsi que le «Land Development Compagny», destiné à aider économiquement l’implantation juive coloniale en Palestine. En 1922, la Palestine passe de la domination turque à la domination anglaise, du fait de l’effondrement de l’Empire turc et de la défaite allemande de 1918, l’Empire turc ayant été l’allié de l’Allemagne durant la première guerre mondiale. En 1927 en France, fut formée sur le même principe que l’ADL, l’organisation juive dénommée LICA (Ligue contre l’antisémitisme), qui sous couvert de lutter contre les atteintes morales aux juifs, sert en réalité à favoriser l’émigration coloniale juive en Palestine. Il est à noter qu’en 1929 en Palestine, les conséquences de l’émigration coloniale juive sur la population arabe indigène commencent à être impossibles à masquer, car de fortes émeutes anticoloniales éclatent. En 1947, le plan de partage de la Palestine est adopté par l’ONU, sous la contrainte des organisations juives sionistes américaines. L’ONU était à l’époque constituée de 60 pays.
En 1948, par la terreur, 800 000 arabes sont chassés de leurs terres, par les organisations juives sionistes, pratiquant les massacres à grande échelle, comme au village de Deir Yassin dont la totalité de la population fut anéantie. Il est à noter que c’est dans le périmètre des terres de Deir Yassin qu’a été édifié le Mémorial mondial de la Shoah, le centre Yad Vashem, commémorant le génocide nazi. En 1949 en France, fut formé le MRAP. Cette organisation, sous couvert de lutte contre le racisme est en réalité une extension de la LICA sioniste. Le MRAP a été mis en place par un dirigeant de la LICA, Charles Palant, qui en a été ensuite le secrétaire général durant 20 ans. L’actuel président du MRAP est un français d’origine arabe, Mouloud Aounit. Il occupe ce poste depuis 20 ans.
En 1979 en France, la LICA (Ligue contre l’antisémitisme) change officiellement sa dénomination pour celle de LICRA (Ligue contre le racisme et l’antisémitisme). Il est à noter qu’au Proche-Orient, Israël a envahi le Liban en 1978.(…) Le MRAP est l’une des organisations mises en place par les organisations juives sionistes pour encadrer en France l’opposition au génocide des Palestiniens. Le but réel du MRAP est inavouable, puisque ce but réel est le génocide et le racisme. C’est pourquoi le MRAP pour dissimuler son but réel, porte cet intitulé qui est le contraire exact de son but réel (lutter contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples), et qu’on a placé à sa tête un président d’origine arabe, lequel n’est qu’un simple homme de paille, un prête-nom des organisations juives sionistes.
2 – L’activité actuelle du MRAP. En décembre 2008 et janvier 2009, Israël a tenté d’envahir l’immense zone concentrationnaire de Gaza, (…). Depuis, Israël tente d’asphyxier alimentairement et médicalement ce qui est le plus grand camp de concentration et d’extermination de toute l’histoire humaine. Il s’agit de génocide. Le MRAP a publié fin 2009 un rapport de 154 pages intitulé «Internet, enjeu de la lutte contre le racisme». Ce document qui est anonyme, constitue un travail de fichage de tous ceux qui en France s’opposent réellement au génocide en Palestine. Dans ce document, le MRAP exprime que le sionisme est un courant de pensée politique comme les autres, déniant publiquement son caractère exceptionnel, puisque intrinsèquement fondé sur le racisme et le génocide. Il est à relever que le MRAP est le guide de la répression judiciaire en France, et que ce rapport constitue donc le vade-mecum de la police politique en France, en matière de persécution visant les opposants au génocide en cours de la population palestinienne. Ce rapport est à la fois un argumentaire et une liste de cibles à abattre.
3 – Il est à noter que l’entreprise de dissimulation de la nature réelle du MRAP se déploie dans plusieurs domaines.
Le MRAP dissimule sa véritable origine en se targuant de provenir de la résistance au nazisme. Le MRAP s’évertue à lancer des dénonciations et des poursuites judiciaires à l’encontre d’organisations et de personnes qui font montre d’un racisme exacerbé, caricatural, envers les arabes et les musulmans, ceci pour brouiller la compréhension de sa réelle fonction. Il est à noter que ces personnes et organisations sont toujours manipulées en sous-main par les organisations sionistes, sinon qu’elles sont de simples articulations de ces organisations. Dans la même logique, le MRAP dénonce les exactions sionistes en Palestine. Les organisations sionistes s’évertuent à attaquer publiquement le MRAP comme favorisant partialement les arabes et les musulmans, ceci de même pour brouiller la compréhension de sa réelle fonction. En espérant etc. etc. … respectueuses salutations. M. Dakar
Lettre publiée à l’adresse suivante :
http://www.aredam.net/mrap-devoilement.html

Toutefois il est bon de dire que ce monsieur «Dakar» est un antisémite notoire considéré comme «fou» par le politiquement correct alors qu’il devrait être mis en détention.
C’est sur son blog antisémite plein de fautes de Français «La banlieue s’exprime» qu’il traite les membres de la LDJ de bande d’enculer (on dit enculés monsieur Dakar!) et de juifistes !
Il dit aussi à propos de monsieur Fabius : «vous méritez vous aussi la guillotine comme pour BHL et Sarkozy» ; menaces de mort non ? Ce blog antisémite et raciste qui n’existe plus sous cette forme aujourd’hui ne semblait pas déranger à l’époque le MRAP, c’est vraiment étonnant non ?

Maintenant pour en revenir au BNVCA qui n’annonce pas la couleur politique toujours de gauche, musulmane ou islamomarxiste, sans qualifier son président monsieur Ghozlan de marxiste culturel avant qu’il ait répondu à cet article, j’exprime un doute, car voilà un homme Français de 74 ans, de confession israélite, commissaire de police parisien à la retraite qui n’a eu de cesse de tirer la sonnette d’alarme contre le raz-de-marée d’attaques, de menaces, de manifestations publiques antisémites menées contre les français de confession israélite qui sévissaient dans notre «douce France», sans jamais au grand jamais, dire de qui venaient cet antisémitisme viscéral. Je vais vous le dire monsieur Ghozlan cet antisémitisme est essentiellement de nature marxiste culturelle soit de gauche avec le soutien du terrorisme musulman et de musulmans qui éructent des «mort aux juifs» dans les manifestations à l’instigation de la gauche et particulièrement de vos «amis» du MRAP, qui je vous le rappelle et c’est pas moi qui le dit, distille de la haine des juifs !

Il semblerait que cet ancien commissaire dans la banlieue de Paris, qui a créé à sa retraite le BNVCA aurait installé une liaison très privilégiée entre la police française et la communauté juive, alertant les deux côtés en cas de menaces antisémites ou d’attaques contre des Juifs. Là aussi je m’interroge, est-ce là bien démocratique et n’y aurait-il pas lieu là d’y voir une sorte de «privilège» ou de «discrimination», pourquoi en France les écoles confessionnelles chrétiennes ne sont-elles pas gardées par des forces armées ?

Monsieur Ghozlan est parti vivre sa retraite en Israël à l’été 2015 mais il affirmait qu’il retournerait souvent en France et il dirigerait toujours le BNVCA.

Un portrait qui lui était consacré dans l’édition d’août 2015 de Vanity Fair  intitulé «Paris brûle» extrait : « Here, barely a mile and a half from the Galeries Lafayette, the heart of bourgeois Paris, the chants: “MORT AUX JUIFS! MORT AUX JUIFS!” Death to the Jews. It was Saturday, July 26, 2014, and a pro-Palestinian demonstration turned into a day of terror in one of the most fashionable neighborhoods of the city.

Ce portrait le décrivait comme un «Colombo sépharade» et comme un «Yves Montand amoché» et expliquait qu’il s’était bâti sa réputation de policier anti-terroriste en identifiant comme sympathisants palestiniens et non néo-nazis les terroristes qui avaient perpétré l’attentat contre la synagogue de la rue Copernic en 1980 au cours duquel quatre personnes avaient été tuées. Vanity Fair  aurait dû préciser qu’à 72 ans l’audition de monsieur Ghozlan devait laisser à désirer et que les «morts aux juifs» éructés à Paris par nos «chances pour la France» islamomarxistes, mrapistofurieuses et musulmanes car aucun membre du BNVCA de plus de 70 ans ne les avaient entendues !

Ah ! En plus avec l’attentat de la rue Copernic on touche au sublime du mensonge politiquement correct. Encore une belle manipulation marxiste culturelle ! Cet attentat antisémite à la bombe du 3 octobre 1980, à 18h38, dirigé contre la synagogue de l'Union libérale israélite de France, rue Copernic à Paris, fait quatre morts et quarante-six blessés. Philippe Bouissou (22 ans) qui passait en moto est tué sur le coup. Aliza Shagrir (42 ans), présentatrice de télévision israélienne en vacances en France, est également tuée sur le coup alors qu'elle marchait sur le trottoir, tout comme Jean Michel Barbé, chauffeur d'une famille qui fréquente la synagogue. Hilario Lopez-Fernandez, le concierge espagnol de l'hôtel Victor Hugo, situé presque en face du temple, est grièvement blessé et décède deux jours plus tard.
Venons-en à cette manipulation marxiste culturelle lamentable. Moins d'une heure après l'attentat, un correspondant anonyme téléphone à l'Agence France-Presse pour revendiquer l'attentat au nom des Faisceaux Nationalistes révolutionnaires, un groupuscule d'extrême droite, reconstitution de la Fédération d'Action Nationale et Européenne (FANE), organisation dissoute par le gouvernement le 3 septembre et qui ne comptait en tout et pour tout que quelques dizaines de militants. Seulement voilà, un an après l'attentat, Jean-Yves Pellay, responsable du Service d’Ordre de la F.A.N.E. reconnaît être l'auteur de l'appel anonyme à l'Agence France-Presse et avoue être en fait un militant sioniste qui a infiltré cette structure. Il déclare au journal le Matin: «On m'a demandé d'infiltrer la FANE» !
Les défilés prennent prioritairement pour cible une extrême droite quasiment inexistante à l’époque en France et le gouvernement de droite alors au pouvoir.
Monsieur Albert Levy un fasciste rouge, secrétaire général du MRAP, ancien instituteur communiste et «journaliste» à l’organe de la haine rouge l’Humanité, attribue lui l’attentat à un groupe «néo-nazi» sans attendre les résultats de l’enquête. Le lien avec les images de l’INA : http://www.ina.fr/economie-et-societe/justice-et-faits-divers/video/CAB8001440501/mrap.fr.html

Là où l’affaire se corse comme on dit à Bastiat, c’est qu’à l’appel du MRAP qui n’était pas encore National, le 7 octobre 1980, un véritable enfumage, une manifestation prétendue contre le racisme mais dirigée en fait contre, ce que les «gentils» militants du Mrap mouvement qui distille de la haine des juifs qualifiait d’extrême droite ! Extrême droite fantasmée à qui le MRAP, un tantinet haineux contre les patriotes Français, attribuait injustement l’immonde attentat, c’est ainsi que l’on avait vu défiler 200 000 personnes (Idiots utiles) entre Nation et République. Plusieurs députés de gauche bien sûr et de la fausse droite ripoublicaine, véritables abrutiles s’y joignent, tous partis confondus. Pendant plus de 30 ans le délicieux mouvement marxiste culturel antisémite persistera dans le mensonge et la mauvaise foi et commémorera l’événement avec des messages de haine et autres proclamations contre une «extrême droite» prétendue antisémite qui n’existait plus que dans son imagination fertile et débridée de vénérables idiots utiles alors que ce développait l’antisémitisme gauchiste, marxiste culturel et islamomarxiste.
Car il est depuis environ 20 ans prouvé que l’attentat de Copernic a été commis par un commando d’arabes marxistes du Front populaire de libération de la Palestine Opérations spéciales (FPLP-OS, branche dissidente du FPLP). Quoi que nous baillez-vous là ? Le FPLP ? Vous voulez parlez du fameux Mouvement Marxiste Antisémite le  FPLP dont le jeune «Français» né à Jérusalem le terroriste palestinien condamné  à 7 ans de prison Salah Hamouri l’antisémite, est membre actif ? Salah Hamouri membre du FPLP Le chouchou du MRAP et de toutes les «forces» de progrès ? Oui celui-là ! A merci on comprend mieux maintenant le silence «assourdissant» comme ils disent du MRAP sur les éléments de l’attentat de Copernic.

Le samedi 4 octobre, le Comité de liaison des étudiants sionistes socialistes (CLESS) organise un défilé aux cris de «Bonnet, Giscard, complices des assassins !». La campagne présidentielle vient de débuter et le socialiste Jean-Pierre Chevènement dénonce dans Le Monde la «véritable osmose [qui] s'est créée entre une partie du personnel dirigeant giscardien et l'extrême droite...».
La police comme la DST ont cependant la certitude que la FANE n’a pas commis l’attentat et privilégient la piste marxiste moyen-orientale. En novembre une note de la police criminelle allemande transmise à Paris, précise que l’attentat a été commis par un commando de Palestiniens de cinq personnes venues du Liban.
Le commissaire de police Jean-Pierre Pochon décrit dans son livre les pressions exercées par le nouveau pouvoir politique socialiste pour diriger l'enquête vers les milieux d'extrême droite au détriment de la piste communiste moyen-orientale. En juillet 1981, Gaston Deferre, nouveau ministre de l'Intérieur, exige encore que les policiers orientent leurs recherches vers les «milieux d'extrême droite».
Aujourd’hui, ce serait donc monsieur Ghozlan qui se serait bâti sa réputation de policier anti-terroriste en identifiant comme «sympathisants» palestiniens les auteurs de l’attentat de Copernic. Que ne l’avait-il dit avant !

Le rôle d’une véritable «organisation» antiraciste, comme se qualifie le MRAP serait de qualifier le «délit» raciste, de désigner l’agresseur et d’être solidaire des victimes. Or, depuis quelques années le MRAP qui distille de la haine des juifs minimise des agressions anti-juives d’une gravité inouïe et retournent les accusations contre les victimes ; surtout quand il s’agit d’actes racistes anti-juifs commis par des «jeunes» comme ils disent, issus de l’immigration et le plus souvent musulmans. Le MRAP publie des proclamations qui sont des chefs-d’œuvre de double langage, d’abord il condamne l’agression ou l’attentat, puis il cherche un autre responsable que le responsable réel, (Le Maréchal Pétain, le gouvernement, l’extrême droite qui n’existe pas) et enfin ils rendent responsables de ces actes anti-juifs les Juifs eux-mêmes, ou bien Israël. Ce double langage condamne l’antisémitisme sans en qualifier les auteurs et en minimise la gravité.

Condamner l’antisémitisme sans en qualifier très nettement les auteurs comme le fait systématiquement le BNVCA fait plus qu’en minimiser la gravité.

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1 commentaire:

  1. MACRON aussi ?

    Richard Ferrand, député du Finistère et bras droit d’Emmanuel Macron, a financé l’association France Palestine Solidarité avec sa réserve parlementaire 2016. Un financement pour « frais de fonctionnement » destiné à l’antenne locale (le groupe Centre-Bretagne) de l’association, qui, pour sa branche nationale, explique pourtant sur son site : « le fonctionnement de l’AFPS repose uniquement sur les cotisations de ses 4400 adhérents, ainsi que des soutiens ponctuels que ceux-ci ou leurs amis apportent à l’occasion de souscriptions spécifiques. L’AFPS ne reçoit strictement aucune subvention externe, publique ou privée pour son fonctionnement courant.»

    Proche de Jean-Yves Le Drian – il présidait le groupe socialiste au conseil régional de Bretagne – Richard Ferrand, soutient donc, via des fonds publics, une association qui a pour objet « de développer l’amitié et la solidarité entre le peuple français et le peuple palestinien et d’œuvrer pour l’établissement d’une paix juste et durable au Proche-Orient fondée sur la reconnaissance des droits nationaux du peuple palestinien, sur la base du droit international ».

    En 2016, il s’était déjà ému de l’interception d’un bateau de militants qui voulaient se rendre à Gaza et fait le relais auprès de Jean-Marc Ayrault, alors Ministre des Affaires Etrangères, des revendications de l’association AFPS.

    Cet engagement public de Richard Ferrand en faveur d’une association très controversée pose question. En effet, Emmanuel Macron a officiellement une position différente sur la question. Il a cependant déjà été accusé de dérapage lorsqu’il avait attaqué les écoles juives où l’on enseignerait, selon lui, « la torah plus que les savoirs fondamentaux ».
    Une campagne de boycott illégale

    Fin 2014, l’antenne locale de Carhaix de l’association France Palestine Solidarité a ainsi mené une action « boycott, désinvestissement, sanctions » (BDS) auprès des trois grandes surfaces de Carhaix et sur le marché local. BDS est un regroupement de collectifs et d’associations – principalement d’extrême gauche (voir la liste de soutiens ici) – qui a pour objet notamment de « sanctionner la politique d’Israël ». D’après le tract distribué ce jour là sur le marché de Carhaix, « la politique criminelle du gouvernement israélien contribue à la montée de l’extrémisme et de l’antisémitisme ».

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